Samedi 10 janvier 6 10 /01 /Jan 17:14

je m'appelle wanda, je vivais en colocation avec julie, qui avait un fiancé trés aisé, il allait la demander en mariage, mais le jour de ses fiancailles, elle me dit, je vais certainement me donner a lui ce soir, je lui dis, quoi, tu n'as jamais baiser avec lui, non je vais lui demander ce soir, je veux qu'il me saute, il est tellement timide qu'il n'osera pas me le demander, et puis merde, j'en ai envie, he bien lui dis-je, bonne baise.

vers une heure du matin, julie rentre, en pleurs, je la prends dans mes bras pour la consoler et lui demander ce qui se passe, elle me reponds, il se passe que mon fiancé andré,et un fou à lier, je n'ose te dire ce qu'il m'a demander, dis le ça te fera du bien, je l'embrassai pour la consoler, il m'a demander de le battre, regarde me dit-elle, il m'a payé une tenue de cuir et des cuissardes, pour ne pas me blesser avec la cravache m'at-il dit, de lui pisser dans la bouche, de renifler ma culotte pendant que je le fouetterai, il m'a promis d'etre mon esclave à vie, que je pourrai quand nous serons marié de prendre des amants, de faire tous ce que je voudrais de lui, qu'est ce que tu lui as répondu, qu'il était taré, et que je ne voulai plus entendre parler de lui, ma pauvre cherie, viens contre moi, et dis moi, de quoi te plains-tu, un homme veux te donner son nom et son titre, tu m'as bien dis que ses parents étaient de la haute, oui mais il est taré, et alors, une fois marié avec, rien ne t'empêche de l'envoyais bouler, ho dis julie et  puis tu sais, depuis le temps que nous vivons ensemble, je n'osais te l'avoué, mais je t'aime, et je crois bien que les hommes me dégoute, ho, cherie, moi aussi je t'aime, viens aimons nous tous de suite, on reparlera de ce conard demain.

le lendemain, je demandai à julie de telephoner à andre et lui dire qu'il vienne se mettre a sa botte tout de suite, mais je ne veux pas faire ce qu'il me demande, je sais cherie, mais moi, si, j'adorerai le dresser, fais moi ce petit plaisir, et puis, dis-je en caressant la combinaison de cuir, ça aussi j'adore, tu permets que je le porte, oui ma cherie repondit-elle, tous ce que tu voudras, alors apelle le et finissons en.
  
elle l'appela tandis que je l'embrassais dans le cou, allo, andré, c'est moi, ta maitresse, tu,tu accepte dit-il avec entousiasme, ne discute pas esclave, pointe toi tous de suite, je veux te voir baver sur mes bottes dans cinq minutes, grouille, je felicitais julie en l'embrassant amoureusement, tu as etait tres bien, une vrai petite tigresse, tu as raison me dit-elle, je vais peut-etre aimer cela, si tu me dirige, pas de probleme cherie, on frappa à la porte, laisse le attendre dis je, installe toi dans le fauteuil comme une reine, je vais aller ouvrir, elle fit ce que je lui dit, j'ouvris la porte, à genoux esclave, me voyant dans la robe de cuir il hoqueta, mais j'avais offert cette robe et ses bottes a maitresse julie, je lui mis une gifle qui le fit vasciller, ta gueule chien, baise mes bottes et suis moi, ta maitresse t'attends, avant de fermer la porte, un jeune homme observait la scene, je lui dit, qu'est que tu as chien, tu en veux autant, il ferma sa porte precipitemment, quand à l'autre je le fustigiai a coup de botte dans le cul, avance et va saluer ta reine, julie n'avais sur le dos, qu'une nuisette transparente, avec des bas resille, ha te voilà chien, dis bonjours à ma chatte dit-elle en ecartant les cuisses, continu d'embrasser et ecoute mes directives, moi pendant ce temps, je m'assis sur le dos de son lecheur et l'embrasser tendrement pour lui donner du courage, et me caressant la chatte sur la nuque de son lecheur, voilà ce que j'exige, je vais t'épouser, mais ce ne seras qu'un leurre, en fait, tu seras mon epoux devant la loi, mais ce ne sera que pour les directives, car aussitot, tu me feras don de tous ce que tu possedes, en echange, je promets de te garder pres de moi a vie, tu devras aussi obeissance a maitresse wanda, elle vivra en permanence avec nous, elle te dressera a ma convenance, tu nous servira de chiotte, de tous ce que l'on voudra faire de toi, compris esclave, repond sans cesser d'embrasser ma chatte, ouiiii, maitresse, bien dans ce cas, je t'accepte pour epoux, ouvre ta bouche, je vais te donné mon champagne personnel, allez bois mon chien, delecte toi de mon nectar, ensuite tu diras merci comme il se doit a maitresse wanda, c'est grace a elle que j'ai accepter ta proposition, tu lui offriras une penderie complete de vetements de cuir, ainsi que des bottes, pas d'objection chien, non maitresse, allez sort de là, je dois allez me preparer pour les obligations des noces.

pendant que julie se faisait belle, j'expliquai à son futur mari, l'art de lecher les bottes, penche toi plus fort, ta gueule doit toucher le sol, ce n'est pas à moi de lever le pied, pendant qu'il lechait le pied droit, je lui écrasais la gueule avec le gauche, tu n'es qu'une merde, quand julie m'a dit qui tu étais, j'ai mouillée ma petite chatte, je lui ai promis que tu serais notre soubrette, notre bonne à tout faire, il parait que tu as une grande maison avec un parc, oui mais mon père vit avec moi, ça je m'en occupe, je veux que tu nous invite chez toi, et que tu me présente à ton père, en attendant, va te mettre au coin, les mains sur la tête et pas bougé. julie arriva et le vit au piquet, qu'a t-il fait, rien je l'ai mis la parce que j'en avais envie, je vais me préparer nous allons chez lui, il nous invite, j'allai enfiler mon pantalon de cuir ultra moulant, chaussée mes cuissardes et un petit top en vinyle pour terminer, quand je redescendis, julie fumait dans le fauteuil en regardant son futur mari toujours agenouillé, il n'a pas bougé ma cherie, et toi qu'as tu fait julie, rien, j'aurai voulu qu'il fasse une erreur, comme bougé par exemple, pour pouvoir le giflé, mais non, il n'a absolument pas bougé d'un pouce, ma pauvre julie, tu n'as pas besoin d'excuses, esclave, aux pieds, tu vois il obeit, alors maintenant gifle le puisque tu en as envie, je peux, bien sur, tu es sa maitresse, elle le gifla une dizaine de fois, l'esclave répondit merci maitresse, ho s'écria t-elle, je crois que j'aime ça, allez en route on va voir ton futur beau-pére. 

 dans la voiture conduite par l'esclave, julie et moi, riante et amoureuse, donnions des ordres à andré, je lui ordonnais de se tenir droit, et qu'a chaque arrêt il nous regarde, ton pére lui demandais-je est maso comme toi, je ne sais pas, mais il adorait ma mére, je l'ai vu assez souvent à genoux devant elle, et toi tu étais esclave de ta mére, oui maitresse, mais maintenant je suis heureux d'etre le votre, on arrive à la villa, il vint ouvrir les portiéres, julie rougit devant la baraque, t'as vu le domaine, oui ma cherie et si tout va bien, il sera bientot à nous, andré ordonnai-je conduit nous à ton pére, et n'oublie pas de lui dire que tu es fiancé à julie et que tu l'as veut pour femme, oui maitresse, il nous fit entré dans un salon immense, son père, eric, cheveux grisonnant nous reçus, et il fut subjuguer par ma beauté, et surtout ma plastique, faur dire que j'annonçais la couleur, j'avais même accrocher une cravache à ma ceinture. julie s'installa dans un moelleux divan, je m'assieds pres d'elle, andré nous demanda poliment ce que l'on voulez boire, du wiski dit julie, trois exactement, qui ne boit pas demanda son pére, mais lui bien entendu, je rétorquai, avec mon savoir faire, et j'espere que nous ne serions plus que deux dans peu de temps, dois'je comprendre que mon fils n'a rien à dire, exactement fit julie, on se marie, mais il restera mon esclave, je regardai le pére d'andré qui rougit jusque la racine, et moi, je suis venue te soumettre, répondis- je en en souriant, et qui vous fait croire mademoiselle wanda, que je serais d'accord, je vois dans vos yeux que vous avez hate de me plaire, de vous plaire peut-etre repondit-il, mais de là à vous venere, il n'y a qu'un pas repondis-je sechement, d'ailleurs ton fils à compris que son bonheur residerait dans cette union, j'avoue que mon fils me ressemble, j'avoue aussi que j'aime obeir aux femmes, mais là, vous me faite peur, je n'ose vous regarder, vous etes d'une telle beauté que je n'ose avoué ma faiblesse, pour toi chien, etre soumis est une faiblesse, vénéré une femme, aimé obeir, tous cela est une faiblesse, je,je, je, répondit-il, et tu ne sais pas quoi répondre, alors baise mes bottes, et dépéche toi, et je m'occuperais de toi, tu en créve d'envie esclave, il se jeta à mes pieds et bouffa littéralement mes bottes, doucement dis-je en lui caressant la tête comme je le ferais à un chien, tu adore obeir, pour moi c'est normal que tu sois à mes pieds, tu vas avoir deux maitresses à t'occuper avec ton fils, allez va l'aider à la cuisine, va préparer le repas pour deux, allez esclave va.  une demi heure plus tard, je dinais en compagnie de julie, avec derriére nos chaises respectives, nos esclaves, à genoux mains derriére le dos, bouche ouverte, attendant gentiment nos ordres, arrivant au dessert, j'ordonnai à eric mon esclave d'approcher, je trouve chien que tu ne fais pas d'effort pour plaire à ta maitresse, tu es un esclave sans imagination, donc, pour moi qui te suis superieur, tu n'es qu'un cabot sans cervelle, non maitresse, j'ai beaucoup de choses dans la tete, mais je n'ose prétendre et oser le faire, bien alors je t'autorise à essayer de me plaire, eric se glissa sous la table, mis son groin au bord de ma mini de cuir, que je levai legerement pour que sa tete d'esclave puisse acceder à ma grotte ruisselante, qu'un léger voile protégé, qu'il se mit aussitot à lecher, je déguster mon dessert dans un état divin, julie voyant le spectacle décida de faire pareil, elle cria, au cul esclave, fait comme ton géniteur, j'approchais ma boouche de celle de julie, l'embrassai tendrement, je passais une main sur la tête de mon suceur, bien, quand je te l'ordonnerai, tu iras changer les draps de ton lit, j'aimerai que l'on poursuivre cet entretient plus intimement, compris esclave, oui maitresse, dis moi que tu  es heureux en ce moment, maitresse, depuis que ma femme maitresse est décédée, je n'ai cesser d'implorer le ciel de m'envoyai son égale, voilà, hé bien le ciel t'a répondu, et ma chatte tu l'as trouve coment, elle doit etre du nectar pour un maso comme toi, ho oui maitresse, bien sortez tous les deux et allez préparer le lit,  et je ne veux entendre aucun bruit, interdiction de parler entre vous, compris, oui maitresse, julie montrant qu'elle était là elle aussi, leur dit, approchez, ce qu'il firent, debout, baissez vos frocs, elle saisit leurs bites au garde à vous, à présent que vous étes à nos ordres, il est inconvenant que vous restiez habillés de la sorte, je vous veux à poil sous un tablier, ta femme à du t'en acheter, hein esclave dit-elle à eric, oui maitresse, alors allez,ouste, et executer mes ordres.       

   

   

Par severa - Publié dans : dominatrice
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  • 21/02/1984
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  • femme de caractére, dominatrice avec mon mari soumis, je domine également ma meilleur amie, qui, elle aussi domine son mari, bref, je suis une femme épanouie qui aime conté des histoires.

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