dominatrice

Mardi 27 janvier 2 27 /01 /Jan 11:24

mon mari aime la campagne, alors je lui fait un petit plaisir, je vais le promener le week-end, je l'apprends à pisser le long d'un arbre, sans se pisser dessus, c'est tres dur pour lui, essayez, vous les males de pisser en bandant, he oui, quand je promene mon mari, il doit toujours faire honneur à sa femme, lui montrer qu'il l'aime, je fais tous pour qu'il reste en erection, mais il n'a pas le droit de juter sans mon ordre, cela a arriver une fois, je l'ai attaché a un arbre et je l'ai fouetté aux orties, croyez moi, il a compris la leçon. 
















à la maison, c'est autre chose, à ma demande, il doit honoré mon cul, me lecher les cuissardes, les cirer, les faire briller avec sa putain de langue, me remercier a chaque instant de l'avoir epouser, qui aurait epouser cette larve, a part moi, je suis trop bonne, cela me perda, en attendant, au cul mon chien! et vous les esclaves, je vous autorise a vous tater la nouille en reluquant mes fesses ,qu'est ce que l'on dit, j'attends.




















rien de tel que de se faire lecher le cul apres une seance de dressage, il me creve ces cons, il ne savent pas la douleur que j'ai a les fouetter, les cravachés jusqu'au sang, ca m'use moi, eux n'ont qu'a se laissai  faire, je fais tous le boulot, alors un peu de tendresse ne fais pas de mal, pensez y les chiens, vos maitresses meritent qu'on les cajolent apres s'etre ereinté sur vos coennes. lui il est là pour un bon moment, et si j'ai envie de pisser, il n'aura qu'a ouvrir la gueule en grand, une fois je suis rester quatre heures à méditer dans cette position, j'ai diner fumer et lu, l'esclave n'a jamais bougé, il n'aurait pas osé, je l'aurais attaché à la croix et fouétté jusqu'au sang, mais mes chiens sont bien dressés, et il me vénére comme il se doit...




















voilà un mari attentif a sa petite femme, il a le merite de la voir s'epanouir avec sa copine, lui en bon larbin, doit attendre qu'elle le remarque, c'est sa volonté à elle, son devoir a lui, n'est ce pas gentil de la part de sa femme de lui permettre de rester debout, bande d'ingrat. 












08.jpgj'aime m'asseoir sur sa bouche de cette façon j'admire le travail qu'il à fait, même mes semelles sont impécable, croyez moi mesdames mesdemoiselles, bien dressés les hommes sont interressants, et puis nous ça nous repose, ps n'ayais crainte, il arrive à respirer, difficilement mais il y arrive, ce serais trop long d'en dresser un autre, bon dressage. 




3-20april-20shoes1b1.jpgle mariage de kate et william, quel bonne nouvelle,une nouvelle princesse j'espére qu'elle saura le mettre à sa botte, regardez celui là, un puissant parmi les puissant, et là, il me supplie depuis ce matin de le laisser m'adorer, pour l'instant, je lui es permis d'honorer ma botte, là je vais l'emmener dans ma salle de bain, laver mon linge intime avec sa langue, j'aime enfilé une culotte entierement lavée de salive, rien que de pensée qu'un esclave à passer des heures à lecher le fond de ma culotte, me procure des picotement dans ma chatte, allez le chien, suis ta maitresse.  


08q.jpgtu crois peut-être esclave, que tu vas passer ta journée avec tes copains, non mais je rêve, qui commande ici, c'est moi, et depuis que tu m'as fait chier pour je te prenne en main, c'est fait, tu n'as plus qu'a obeir à ta maitresse, et si elle t'ordonne de faire reluire ses talons, tu le fais sans discuter et surtout sans réfléchir, cela ne doit pas étre dur pour toi, vu la cervelle que tu as, je t'interdis de sortir, par contre moi, quand tu auras fait briller mes bottines, j'irais au super marché avec ta soeur anita, pendant ce temps tu feras la lessive, puis la vaisselle et les sols, pour les poussiéres, tu auras peut-etre le temps ce soir quand je regarderais un film, tu dois etre content que je t'ai choisis comme esclave, ha au fait, j'ai une liaison avec ta soeur, et elle est au courant de notre façon de vivre, elle adore, et elle ne serait pas contre une petite seance à trois, bien sur j'ai accepter à condition que tu ne jouisses pas, ce serai inconvenable devant ta propre soeur, par contre à elle, je lui donne tous les droits, elle m'a avouée qu'elle aimerait t'enculer, tu sais bien que j'ai accepter, pendant qu'elle te sodomnisera, tu feras

ce que tu fais maintenant, allez suce esclave.  

 

 

 

Par severa - Publié dans : dominatrice
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Mercredi 31 décembre 3 31 /12 /Déc 09:12
Bonjour Valeria, tes dernières acquisitions d'esclaves ont eu un certain retentissement chez toutes les Dames de l'Ordre, tu les sais ?

Oui, oui, c'est ce que j'ai pu comprendre. D'ailleurs c'est pour ça qu'on se voit, non ?

Exact. Cet entretien est enregistré... Pour plus de clarté, nous allons évoquer le cas de tes esclaves depuis le début.

Allons-y. Par quoi je commence ?

Tu es une Dame discrète au sein de l'Ordre, présentes-toi rapidement, après ça ira tout seul.

Bon... Je suis une des rares Dames de l'Ordre à venir d'Amérique du Sud, je suis d'Argentine plus exactement. Ça n'avait aucun intérêt jusqu'à récemment, tout-à-l'heure on comprendra pourquoi je parle de ça. Depuis que je fais partie de l'Ordre, je n'avais jamais recruté moi-même un soumis, je me contentais de les acheter après les dressages...

Et quand on est une Dame de grade I, ça ne permet pas d'être suffisamment dotée en esclave...

Eh oui. J'avais toujours eu deux esclaves, ni plus, ni moins, plus ceux que je laissais en prison et qui ne coûtent rien pendant ce temps. J'avoue ne pas avoir le cran pour être de grade supérieur, mais j'étais jalouse de Dames de même rang que moi qui avaient trois, voire quatre esclaves !

Maintenant, parlons de tes récentes acquisitions...

C'était en Janvier dernier, j'étais retournée en Argentine pour des shootings. L'agence avait prévu une visite caritative dans je ne sais quelle baraque pour miséreux, et j'ai bien dû y aller... En ce moment en Argentine c'est vraiment la catastrophe, tout s'effondre, des pauvres partout... Moi, j'm'en foutais, tant pis pour eux... Et puis pendant la visite il y une femme en guenilles qui a osé s'approcher de moi de près, et elle m'a dit à haute voix "Je sais qui vous êtes... L'Ordre, tout ça ! Je veux juste vous parler !"

Elle t'a menacée ?

C'est ce que j'ai cru sur le moment. Je ne savais pas où elle avait entendu parler de l'Ordre, il fallait que je connaisse ses intentions. Au cas où... Le problème c'est qu'il y avait du monde tout autour de nous, et impossible de se mettre à l'écart. Tous ces gens sales et mendiants partout, et moi j'étais en tailleur noir tout en cuir, une coiffure sophistiquée avec des chaussures à talons, pour la discrétion c'était pas évident !...

Passons sur les détails, la suite...

Dans une rue près de là, deux heures plus tard. Je suis arrivée accompagnée par mon esclave personnelle, je n'avais même pas eu le temps de me changer ! Elle était là, avec deux garçons, tout aussi sales et repoussants qu'elle. Elle était émue jusqu'aux larmes, elle a dit à peu près ça : "On n'a plus rien, je n'ai plus rien pour les nourrir, nous n'existons déjà plus pour la société... On s'en fout de notre liberté, on veut juste vivre dignement, et être vos esclaves représente pour nous la meilleure issue possible..."

Ils troquaient leur liberté contre un peu d'attention de ta part ?

Oui, c'est ça. Plutôt esclave que misérable, c'est un credo qui m'a plu immédiatement.

Tu ne les a pas pris à ton service tout de suite après quand même ?

J'étais sûre de moi. Avant de finaliser leur servitude, je les ai humiliés à plusieurs reprises pour voir leurs réactions... Ils se sont vite retrouvés à mendier leur nourriture, puis je leur jetais mes restes, mais pour eux c'était toujours mieux qu'avant. Je vis entourée de luxe, mes esclaves en profitent nécessairement un peu... Je ne vais quand même pas me forcer à leur compliquer la vie !

A l'Ordre, on a eu les esclaves à tendance soumise et plutôt consentants, puis ceux un peu moins consentants, les admirateurs passionnés, et maintenant tu es la première à avoir des esclaves qui se soumettent parce que leur vie est insoutenable...

Je pense qu'il y a là un réservoir immense de gens tellement misérables et désespérés... Pour beaucoup la liberté est secondaire quand on risque de mourir dans une guerre, ou à cause de la famine, ou du manque de rêve tout simplement. Et en plus la plupart n'ont même pas la liberté à la base ! Alors tu imagines ce qui leur passe par la tête si une femme comme toi - riche, belle, fière et sans tabou - leur propose de devenir ses esclaves ?!

Tu ne crains pas que ça se limite à des pulsions immédiates, et qu'au fond il ne cherche qu'à sortir de leur situation, sans songer à respecter leur maîtresse ?

Comment répondre à ça ? J'ai trois esclaves, dont deux jeunes, qui m'ont littéralement confiée leur vie pour les sauver. Ils me vénèrent comme le messie, ils se battent presque pour nettoyer mes chaussures, ils se punissent eux-mêmes pour des erreurs que je n'ai même pas remarquées, pour moi c'est parfait.

 

Penses-tu que l'Ordre devrait exploiter cette ressource d'esclaves qu'on peut trouver partout dans le monde ?

Mais bien sûr ! Je suis comme une déesse lorsque je circule dans les quartiers populaires de Buenos-Aires... On pourrait penser qu'ils me haïraient pour mes privilèges, mais ils sont soumis par nature ! D'ailleurs tu pourras demander à Stéphanie, elle a fait quelque chose de similaire à Miami, il y a des Cubains en difficulté là-bas aussi...

Tu as des idées sur l'avenir ?

J'ai déjà commencé à préparer le terrain, je veux monter aux Dames les plus gradées que ce principe est bon.

Qu'as-tu fait ?

C'est très symbolique, mais c'est aussi très révélateur. J'ai repéré familles vraiment intéressées par la servitude, et à chacune j'ai confié une paire de chaussures. Dans deux mois j'irai voir ceux qui s'en sont le mieux occupé. Je sais que certains, pour prouver leur volonté, les vénèrent comme une relique de ma personne ! Tu te rends compte qu'il y a des gens dans cette ville chez qui trône une de mes paires de chaussures comme un bijou précieux et mis en valeur !

Tu parles beaucoup de familles ?

C'est systématique. C'est trop dur pour eux d'imaginer franchir le pas de l'esclavage seuls. En famille c'est plus facile. Ça se comprend... de mon côté, la mère est un peu moins bien, mais c'est compréhensible : elle a poussé ses deux gamins à devenir des esclaves. Mes esclaves !

En conclusion, qu'est-ce que tu dirais ?

Un homme ou une femme, de n'importe quel pays, plutôt que de se battre pour survivre dans la misère, préférera être l'esclave d'une femme riche et lui lécher les bottes tous les jours.

Par severa - Publié dans : dominatrice
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