Mercredi 14 janvier 3 14 /01 /Jan 13:31

Le meilleur ami de la femme




"Sophie ? C'est Elodie. Dis-moi, je te propose un petit changement de programme. Passe plutôt chez moi, ça ne te dérange pas ? Non ? Super ! D'accord, tu n'auras qu'à me passer un coup de fil... Tu préfères que je vienne te prendre en voiture ? Non ? Bon, comme tu voudras... A tout à l'heure alors. Bise."

Elodie éteignit son téléphone portable et se tourna vers moi, satisfaite

"Ok, on ramène le monstre et on attend tranquillement chez moi.... J'espère que ça te convient ? Comme ça, tu verras comment je suis installée..."

Le "monstre", c'était le chien de Sophie, sa meilleure amie. Un labrador dont nous avions la garde, pour l'après-midi, et qui était vautré sur la banquette arrière de la voiture d'Elodie. Celle-ci mit le contact, pressa l'accélérateur. Le V6 de la Golf se mit à vrombir. Machinalement, je voulus regarder le mouvement de ses pieds sur les pédales... Hélas, la console centrale les masquait à ma vue. De toutes les manières, elle portait des chaussures de sport, sans chaussettes comme à son habitude. Je dus donc me contenter de regarder ses jambes, parfois ses chevilles, et d'imaginer le reste...

Je n'avais guère été consulté sur le programme de la journée. Elodie est une fille extrêmement directive. Elle a vite pris un tel ascendant sur moi qu'elle estime généralement que je me dois de me conformer à ses moindres désirs et que sa volonté s'impose nécessairement à la mienne. Dans une certaine mesure, je ne devrais pas avoir d'autres volontés que les siennes. La suite des événements allait le montrer de manière plus éclatante encore.

Nous ne nous fréquentions alors que depuis quelques semaines mais nos caractères et nos envies étaient tellement complémentaires qu'il me semblait la connaître depuis bien plus longtemps... Il est vrai que je me montrais très docile avec elle, tant par désir de lui plaire qu'en raison du plaisir diffus que j'éprouvais à lui obéir. Elle n'avait pas tardé à prendre la mesure du pouvoir qu'elle avait sur moi et en jouait avec gourmandise.

Après un rapide tour de son appartement, que je visitais pour la première fois, nous nous installâmes dans le salon. Elle sur le canapé, moi sur une chaise. Elle tendit la télécommande, alluma le téléviseur et poussa un soupir d'aise en étirant ses jambes. Elle changeait régulièrement de chaîne, au gré de sa fantaisie, ce qui nous permit de bavarder de choses et d'autres puisqu'il était inutile de prêter une grande attention aux programmes. Au bout d'un moment, Sultan, le labrador de Sophie s'approcha du canapé, flairant le sol. Puis, comme font tous les chiens, il s'affala lourdement aux pieds d'Elodie, la tête contre le sol. A ce moment précis, je me dis que j'aurais volontiers échangé ma place avec ce crétin d'animal. Je n'avais pourtant encore rien vu...

Elodie regarda le chien, leva les yeux vers moi et me sourit. Puis, à ma grande surprise, elle posa doucement son pied sur le dos du gros chien. La vue de sa petite chaussure de sport blanche et rose ainsi posée sur le pelage beige de l'animal me fit une sensation étrange. Elodie me regardait toujours avec une mine espiègle, un rien provocante. Avec son deuxième pied, elle commença à presser délicatement le museau du chien contre le sol. Celui-ci se mit à gronder sourdement... Elle posa alors son pied sur le dessus du crâne du labrador, qui me parut plus plat que jamais...

Je n'en revenais pas du spectacle qui s'offrait à mes yeux. Pour cacher mon excitation, je fis mine de m'indigner

"eh, pourquoi fais-tu ça ? Tu n'as pas le droit..."

Elodie se mit à rire

"Pas le droit ? Pas le droit de quoi ? Je fais ce que je veux ! Moi ça ne me dérange pas... d'ailleurs, il n'a pas l'air de se plaindre..."

En effet, le chien continuait à émettre de drôles de gémissement sous la pression des pieds d'Elodie

"Enfin, tes chaussures sont sales, c'est pas une manière de le traiter..."

Elodie me regarda avec malice. Même à moi, ces arguments paraissaient idiots tant ils sonnaient faux.

"Tu t'inquiètes beaucoup pour ce chien, il me semble... Tu ne serais pas jaloux de lui plutôt ?"

Cette question-piège me prit complètement au dépourvu. La suite se passa comme dans un rêve... Elodie donna un coup de pied dans le flanc du chien, pour l'inciter à débarrasser le plancher. Plantant ses yeux dans les miens, elle m'ordonna de venir prendre sa place. "Viens, Eric... Viens te coucher à mes pieds... à la place du chien" Je restai un instant ahuri, incapable de remettre de l'ordre dans mes pensées Comme pour me sortir de ma stupéfaction, elle claqua des doigts et pointa son index vers le sol "Alors ? J'attends... Viens te coucher à mes pieds, je suis sûre que tu en meurs d'envie.."

Comment aurais-je pu lui résister ? J'avais l'impression d'être hypnotisé par elle et qu'elle lisait dans mes pensées. L'instant d'après je n'étais plus pour elle qu'un tapis humain...

"Retire ton tee-shirt"

J'obéis prestement. Sans précautions particulières, elle cala l'arrière de ses semelles contre mes côtes et se débarrassa de ses chaussures. Puis elle posa fermement ses pieds nus sur mon dos. Ils étaient chauds et humides. Leur contact me fit frissonner et je me mis à gémir de plaisir tandis qu'elle les frottait sur moi.

"J'étais sûre que ça te plairait... mais peut-être pas autant qu'à moi... j'adore sentir une peau douce et chaude sous mes pieds... Est-ce que tu trouves que j'ai de jolis pieds ?"

En disant cela, elle retira son pied droit de mon dos et le glissa juste sous mon nez. Je dus faire un effort pour soulever ma tête du sol, d'autant que la pression de son pied gauche me clouait littéralement au sol, mais cet effort fut amplement récompensé. C'était la première fois que je voyais les pieds nus d'Elodie. J'avoue que je redoutais que comme trop de filles, elle attache moins d'importance à ses pieds qu'à ses mains. Que ses ongles par exemple ne soient très courts et vernis de rouge par habitude. Au lieu de ça, j'avais sous les yeux un pied mignon comme tout. Des orteils adorables, un peu courts, un peu charnus, mais émouvants comme des pieds de bébé. Le second orteil un peu plus long que le pouce. Des ongles non vernis, certes un peu longs mais bien entretenus et très sains. Joliment bombés, mais pas trop. L'ongle du gros orteil à peu près aussi large que long, les bords saillants soigneusement arrondis pour éviter qu'ils ne blessent. Je ne pus m'empêcher de déposer un baiser plein de passion sur ce pied magnifique, ce qui la fit rire de plaisir

"Voilà une réponse qui me plaît ! Au fait, mes pieds ne sont pas très propres... je ne les ai pas lavés aujourd'hui. Et puis il a fait chaud, j'ai dû transpirer dans ces baskets... Ça ne te dérange pas, j'espère ?"

Non, ça ne me dérangeait pas. Pas du tout. Mais de toutes les manières, Elodie s'en moquait complètement, parce qu'avant même que j'ai pu ouvrir la bouche pour lui répondre, elle posa lourdement ses deux pieds sur ma tête, avant de m'obliger d'une pression ferme à tourner ma joue droite vers le haut. Elle entreprit ensuite de frotter intensivement ses plantes de pied contre mon visage. C'était une sensation incroyable, étrange. Ma tête allait et venait au rythme des impulsions qu'elle lui donnait. La peau de ma joue qui s'étirait et se déformait sous la friction, mon oeil presque écrasé par le bord de son pied. Mon visage malaxé rythmiquement, heurté, malmené, échauffé. L'odeur douceâtre des pieds d'Elodie qui s'infiltrait dans mes narines, la transpiration de ses pieds qui pénétrait ma peau et l'imprégnait de son parfum aigre-doux. Le piétinement se faisait plus insistant, plus douloureux. Ses talons me heurtaient le nez, les lèvres. La plante de ses pieds écrasait et déformait ma joue, abandonnait un instant le contact pour revenir frotter plus fort encore au passage suivant. J'entendais Elodie se moquer de moi, me comparer au chien qu'elle avait pareillement maltraité. Elle s'amusa à me gifler en battant rapidement des pieds pour qu'ils viennent claquer sur mon visage. Enfin, elle m'ordonna de me tourner sur le dos et plaqua ses deux pieds dans ma figure

"Sens mes pieds... Ils sentent fort, pas vrai ? J'ai toujours eu envie d'obliger un homme à me sentir les pieds... tu n'imagines pas à quel point ça m'excite de te forcer à flairer mes pieds... Allez ! mieux que ça, plus fort... Sens bien entre mes orteils... Obéis-moi, tu n'as pas le choix. Dis-moi que c'est bon, dis-moi que tu aimes l'odeur de mes pieds et je ferai de toi mon esclave... "

Elle pressait ses pieds sur mon visage avec tant d'insistance que j'en étouffais presque. Je m'efforçais du mieux que je pouvais de la satisfaire, insérant mon nez entre ses doigts de pied, respirant leur parfum jusqu'à l'ivresse. Je finissais par perdre toute sensation du monde extérieur le visage ainsi frotté et échauffé, les yeux fermés. Seuls restaient actifs mon odorat, saturé par l'odeur puissante des pieds d'Elodie, et mon ouïe, ce qui me permettait de mesurer toute l'étendue du plaisir qu'elle prenait à me traiter ainsi. Tous les sarcasmes dont elle m'accablait prenaient une dimension hautement érotique tant le ton de sa voix en devenait "sexy". Je finis par me laisser entièrement submerger par ces sensations et à me laisser utiliser comme bon lui semblait, obéissant au moindre de ses ordres...

Au bout d'un temps indéterminé, Elodie se leva et m'ordonna de la rejoindre près du mur, juste derrière le canapé. Elle insista pour que je vienne vers elle en rampant, ce qui me parut plus facile que de me lever tant j'étais étourdi du piétinement qu'elle venait de m'infliger. Je vins donc m'allonger parallèlement au mur et elle monta de nouveau sur mon dos, sans plus de considération que si elle montait sur une estrade. Appuyée contre le mur, elle se mit à me fouler aux pieds méthodiquement, sans cesser de m'humilier verbalement. Une fois encore, je perdis rapidement le sens de ce qui m'entourait. Je n'écoutais plus que sa voix captivante et lui abandonnais mon corps pour qu'elle le piétine à sa guise.

Elle m'ordonna de me tourner pour lui présenter mon ventre et j'obéis. Elle me regarda en souriant, comme pour me remercier de lui offrir les parties les plus sensibles de mon corps. Mais ce que je pris pour de la gratitude n'était peut-être que de la cruauté... Les piétinements reprirent en effet de plus belle. Bien plus douloureux aussi, mais elle ne paraissait pas s'en inquiéter. Je sentais mon ventre s'enfoncer sous ses pieds soyeux, ma poitrine écrasée, oppressée. Je ne parvenais plus à faire la distinction entre la douleur et le plaisir tant mes sens paraissaient s'affoler. Ses moqueries me rendaient fou. J'étais hypnotisé par la joie méchante qu'elle éprouvait à m'écraser, à m'anéantir ainsi sous ses pieds. Comme si elle piétinait une bête malfaisante. Mis à mort sous ses pieds ravissants... Son pied sur ma gorge... Son regard brillant que j'entrevoyais si brièvement... La pression... étranglé... mes yeux qui se fermaient... son rire... Elle disait qu'elle adoraient sentir mes muscles se contracter puis céder sous ses pieds, que cela l'excitait de sentir mon corps s'aplatir sous ses pieds, qu'elle se sentait toute-puissante, qu'elle pouvait faire de moi ce qu'elle voulait. Elle me compara à un serpent et affirma qu'il lui revenait, en tant que femme, de m'écraser la tête sous son talon... J'ignore d'où lui venait cette idée, mais elle la mit à exécution avec jubilation...

Je dus rester un instant prostré, éreinté, avant de me rendre compte qu'Elodie avait cessé de me piétiner. Je l'entendis aller et venir, parler au chien, mais le canapé m'empêchait de voir ce qu'elle faisait. Elle revint enfin, m'enjamba et s'assit sur ma poitrine en immobilisant mes bras avec ses genoux.

" Voilà un petit accessoire qui va nous être bien utile..." Elle tenait le collier du chien dans sa main ! J'étais tellement éprouvé par le piétinement intensif que je venais de subir que je ne parvins même pas à l'empêcher de me passer le collier. Elle s'inclina vers moi pour l'attacher, en se plaquant contre moi comme si elle cherchait à m'étouffer entre ses seins. Après avoir fixé la laisse au collier, elle se releva et me regarda avec satisfaction

"Tu n'es pas le premier homme dont je me sers comme carpette, mais tu es le premier que je mets en laisse aussi rapidement !" Elle a vraiment le secret des phrases mortifiantes...

La visite de son appartement reprit ainsi de manière plus approfondie, dans ces circonstances que je n'aurais jamais pu imaginer. Je dus donc me traîner misérablement à quatre pattes derrière Elodie, obéissant à chaque traction qu'elle exerçait sur la laisse, en l'écoutant se moquer des hommes en général et de moi en particulier... Elle s'arrêta un instant et me jeta un regard ironique "Les chiens ont beaucoup de flair... Est-ce que tu es un bon chien ?" Je la regardai sans comprendre. Elle eut un sourire cruel "Flaire le sol... est ce que tu y sens l'odeur de mes pieds ?" Mais où allait-elle chercher tout ça.? Timidement, je me mis à renifler le parquet, sans beaucoup de résultats. "Ne me dis pas que tu ne sens rien ? A moins que ton visage ait absorbé toute l'odeur de mes pieds quand je les ai frottés dessus ?" Mais peut-être que tu pourrais sentir le goût de ma transpiration, si tu léchais le sol là où mes pieds se sont posés ?" Elle pointa le sol de l'index et m'ordonna "Lèche ici !" "Rien ?" Et ici ! poursuivit-elle en désignant le sol du bout du pied. Je léchais de nouveau le parquet, tentant de déceler la moindre trace salée "Et là ?" demanda-t-elle en soulevant son pied. Je dus me plaquer à terre pour venir goûter du bout de la langue la trace moite que son pied venait de laisser sur le parquet. Je sentis effectivement un goût salé très subtil, et peut-être même l'odeur de son pied, mais avant même que je puisse analyser l'origine exacte de l'effluve, elle abattit brutalement son pied nu sur ma joue, m'écrasant la tête contre le sol. Je l'entendis rire "Quel bon toutou, si docile, si confiant ! Tu sais ? Il paraît que l'homme est un loup pour l'homme. Mais correctement dressé, je crois qu'il peut vraiment devenir le meilleur ami de la femme !" Elle éclata de rire, faisant tourner son pied sur ma joue comme si elle voulait vraiment m'aplatir la tête comme une galette. Je fus momentanément sauvé de ce jeu dégradant par la sonnerie du téléphone.

Elodie me mena en laisse jusqu'au meuble du téléphone et décrocha. J'étais positionné devant elle à quatre pattes, tête basse. Elle posa un pied sur ma nuque pour parler plus à son aise. C'était Sophie. L'essentiel de la conversation m'échappa car je m'étais perdu dans la contemplation du pied nu qu'Elodie avait gardé au sol. J'étais tellement absorbé que je ne fis pas attention à l'accentuation de la pression de son autre pied sur ma nuque. C'est le coup brutal qu'elle y porta qui me tira de ma rêverie et je compris qu'elle voulait que je me couche. Dès que j'eus posé ma joue contre le sol, elle monta carrément sur ma tête et se tint debout dessus tout en continuant à parler avec son amie !

J'ignore si elle se tenait debout sur ma tête de tout son poids ou si elle était appuyée contre le meuble, toujours est-il que la douleur était terrible. Je poussais un fort gémissement, ce qui me valut immédiatement un coup de talon dans la tempe...

"C'est le chien...
Oui, tout est ok, j'ai la situation bien en main. Tu sais avec ces bestioles, il faut savoir faire preuve d'autorité et leur montrer qui commande... Oui, Eric est toujours là. Ne t'inquiète pas, il ne s'ennuie pas... Oui... A tout de suite"

Elle raccrocha et redescendit sur le sol

"Je t'interdis de faire du bruit quand je suis au téléphone, c'est compris ?" Elle fit mine de me donner un nouveau coup de pied au visage, pour me montrer son mécontentement, mais ne porta pas le coup.

"C'était Sophie. Elle est en route. Elle devrait être là dans une vingtaine de minutes..."

Elle donna une traction sur la laisse pour m'obliger à reprendre ma posture de chien, avant d'ajouter avec un sourire cruel

"... Ce qui nous laisse encore un peu de temps pour nous amuser..."



Par severa - Publié dans : jeunes maitresses
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Samedi 10 janvier 6 10 /01 /Jan 17:14

je m'appelle wanda, je vivais en colocation avec julie, qui avait un fiancé trés aisé, il allait la demander en mariage, mais le jour de ses fiancailles, elle me dit, je vais certainement me donner a lui ce soir, je lui dis, quoi, tu n'as jamais baiser avec lui, non je vais lui demander ce soir, je veux qu'il me saute, il est tellement timide qu'il n'osera pas me le demander, et puis merde, j'en ai envie, he bien lui dis-je, bonne baise.

vers une heure du matin, julie rentre, en pleurs, je la prends dans mes bras pour la consoler et lui demander ce qui se passe, elle me reponds, il se passe que mon fiancé andré,et un fou à lier, je n'ose te dire ce qu'il m'a demander, dis le ça te fera du bien, je l'embrassai pour la consoler, il m'a demander de le battre, regarde me dit-elle, il m'a payé une tenue de cuir et des cuissardes, pour ne pas me blesser avec la cravache m'at-il dit, de lui pisser dans la bouche, de renifler ma culotte pendant que je le fouetterai, il m'a promis d'etre mon esclave à vie, que je pourrai quand nous serons marié de prendre des amants, de faire tous ce que je voudrais de lui, qu'est ce que tu lui as répondu, qu'il était taré, et que je ne voulai plus entendre parler de lui, ma pauvre cherie, viens contre moi, et dis moi, de quoi te plains-tu, un homme veux te donner son nom et son titre, tu m'as bien dis que ses parents étaient de la haute, oui mais il est taré, et alors, une fois marié avec, rien ne t'empêche de l'envoyais bouler, ho dis julie et  puis tu sais, depuis le temps que nous vivons ensemble, je n'osais te l'avoué, mais je t'aime, et je crois bien que les hommes me dégoute, ho, cherie, moi aussi je t'aime, viens aimons nous tous de suite, on reparlera de ce conard demain.

le lendemain, je demandai à julie de telephoner à andre et lui dire qu'il vienne se mettre a sa botte tout de suite, mais je ne veux pas faire ce qu'il me demande, je sais cherie, mais moi, si, j'adorerai le dresser, fais moi ce petit plaisir, et puis, dis-je en caressant la combinaison de cuir, ça aussi j'adore, tu permets que je le porte, oui ma cherie repondit-elle, tous ce que tu voudras, alors apelle le et finissons en.
  
elle l'appela tandis que je l'embrassais dans le cou, allo, andré, c'est moi, ta maitresse, tu,tu accepte dit-il avec entousiasme, ne discute pas esclave, pointe toi tous de suite, je veux te voir baver sur mes bottes dans cinq minutes, grouille, je felicitais julie en l'embrassant amoureusement, tu as etait tres bien, une vrai petite tigresse, tu as raison me dit-elle, je vais peut-etre aimer cela, si tu me dirige, pas de probleme cherie, on frappa à la porte, laisse le attendre dis je, installe toi dans le fauteuil comme une reine, je vais aller ouvrir, elle fit ce que je lui dit, j'ouvris la porte, à genoux esclave, me voyant dans la robe de cuir il hoqueta, mais j'avais offert cette robe et ses bottes a maitresse julie, je lui mis une gifle qui le fit vasciller, ta gueule chien, baise mes bottes et suis moi, ta maitresse t'attends, avant de fermer la porte, un jeune homme observait la scene, je lui dit, qu'est que tu as chien, tu en veux autant, il ferma sa porte precipitemment, quand à l'autre je le fustigiai a coup de botte dans le cul, avance et va saluer ta reine, julie n'avais sur le dos, qu'une nuisette transparente, avec des bas resille, ha te voilà chien, dis bonjours à ma chatte dit-elle en ecartant les cuisses, continu d'embrasser et ecoute mes directives, moi pendant ce temps, je m'assis sur le dos de son lecheur et l'embrasser tendrement pour lui donner du courage, et me caressant la chatte sur la nuque de son lecheur, voilà ce que j'exige, je vais t'épouser, mais ce ne seras qu'un leurre, en fait, tu seras mon epoux devant la loi, mais ce ne sera que pour les directives, car aussitot, tu me feras don de tous ce que tu possedes, en echange, je promets de te garder pres de moi a vie, tu devras aussi obeissance a maitresse wanda, elle vivra en permanence avec nous, elle te dressera a ma convenance, tu nous servira de chiotte, de tous ce que l'on voudra faire de toi, compris esclave, repond sans cesser d'embrasser ma chatte, ouiiii, maitresse, bien dans ce cas, je t'accepte pour epoux, ouvre ta bouche, je vais te donné mon champagne personnel, allez bois mon chien, delecte toi de mon nectar, ensuite tu diras merci comme il se doit a maitresse wanda, c'est grace a elle que j'ai accepter ta proposition, tu lui offriras une penderie complete de vetements de cuir, ainsi que des bottes, pas d'objection chien, non maitresse, allez sort de là, je dois allez me preparer pour les obligations des noces.

pendant que julie se faisait belle, j'expliquai à son futur mari, l'art de lecher les bottes, penche toi plus fort, ta gueule doit toucher le sol, ce n'est pas à moi de lever le pied, pendant qu'il lechait le pied droit, je lui écrasais la gueule avec le gauche, tu n'es qu'une merde, quand julie m'a dit qui tu étais, j'ai mouillée ma petite chatte, je lui ai promis que tu serais notre soubrette, notre bonne à tout faire, il parait que tu as une grande maison avec un parc, oui mais mon père vit avec moi, ça je m'en occupe, je veux que tu nous invite chez toi, et que tu me présente à ton père, en attendant, va te mettre au coin, les mains sur la tête et pas bougé. julie arriva et le vit au piquet, qu'a t-il fait, rien je l'ai mis la parce que j'en avais envie, je vais me préparer nous allons chez lui, il nous invite, j'allai enfiler mon pantalon de cuir ultra moulant, chaussée mes cuissardes et un petit top en vinyle pour terminer, quand je redescendis, julie fumait dans le fauteuil en regardant son futur mari toujours agenouillé, il n'a pas bougé ma cherie, et toi qu'as tu fait julie, rien, j'aurai voulu qu'il fasse une erreur, comme bougé par exemple, pour pouvoir le giflé, mais non, il n'a absolument pas bougé d'un pouce, ma pauvre julie, tu n'as pas besoin d'excuses, esclave, aux pieds, tu vois il obeit, alors maintenant gifle le puisque tu en as envie, je peux, bien sur, tu es sa maitresse, elle le gifla une dizaine de fois, l'esclave répondit merci maitresse, ho s'écria t-elle, je crois que j'aime ça, allez en route on va voir ton futur beau-pére. 

 dans la voiture conduite par l'esclave, julie et moi, riante et amoureuse, donnions des ordres à andré, je lui ordonnais de se tenir droit, et qu'a chaque arrêt il nous regarde, ton pére lui demandais-je est maso comme toi, je ne sais pas, mais il adorait ma mére, je l'ai vu assez souvent à genoux devant elle, et toi tu étais esclave de ta mére, oui maitresse, mais maintenant je suis heureux d'etre le votre, on arrive à la villa, il vint ouvrir les portiéres, julie rougit devant la baraque, t'as vu le domaine, oui ma cherie et si tout va bien, il sera bientot à nous, andré ordonnai-je conduit nous à ton pére, et n'oublie pas de lui dire que tu es fiancé à julie et que tu l'as veut pour femme, oui maitresse, il nous fit entré dans un salon immense, son père, eric, cheveux grisonnant nous reçus, et il fut subjuguer par ma beauté, et surtout ma plastique, faur dire que j'annonçais la couleur, j'avais même accrocher une cravache à ma ceinture. julie s'installa dans un moelleux divan, je m'assieds pres d'elle, andré nous demanda poliment ce que l'on voulez boire, du wiski dit julie, trois exactement, qui ne boit pas demanda son pére, mais lui bien entendu, je rétorquai, avec mon savoir faire, et j'espere que nous ne serions plus que deux dans peu de temps, dois'je comprendre que mon fils n'a rien à dire, exactement fit julie, on se marie, mais il restera mon esclave, je regardai le pére d'andré qui rougit jusque la racine, et moi, je suis venue te soumettre, répondis- je en en souriant, et qui vous fait croire mademoiselle wanda, que je serais d'accord, je vois dans vos yeux que vous avez hate de me plaire, de vous plaire peut-etre repondit-il, mais de là à vous venere, il n'y a qu'un pas repondis-je sechement, d'ailleurs ton fils à compris que son bonheur residerait dans cette union, j'avoue que mon fils me ressemble, j'avoue aussi que j'aime obeir aux femmes, mais là, vous me faite peur, je n'ose vous regarder, vous etes d'une telle beauté que je n'ose avoué ma faiblesse, pour toi chien, etre soumis est une faiblesse, vénéré une femme, aimé obeir, tous cela est une faiblesse, je,je, je, répondit-il, et tu ne sais pas quoi répondre, alors baise mes bottes, et dépéche toi, et je m'occuperais de toi, tu en créve d'envie esclave, il se jeta à mes pieds et bouffa littéralement mes bottes, doucement dis-je en lui caressant la tête comme je le ferais à un chien, tu adore obeir, pour moi c'est normal que tu sois à mes pieds, tu vas avoir deux maitresses à t'occuper avec ton fils, allez va l'aider à la cuisine, va préparer le repas pour deux, allez esclave va.  une demi heure plus tard, je dinais en compagnie de julie, avec derriére nos chaises respectives, nos esclaves, à genoux mains derriére le dos, bouche ouverte, attendant gentiment nos ordres, arrivant au dessert, j'ordonnai à eric mon esclave d'approcher, je trouve chien que tu ne fais pas d'effort pour plaire à ta maitresse, tu es un esclave sans imagination, donc, pour moi qui te suis superieur, tu n'es qu'un cabot sans cervelle, non maitresse, j'ai beaucoup de choses dans la tete, mais je n'ose prétendre et oser le faire, bien alors je t'autorise à essayer de me plaire, eric se glissa sous la table, mis son groin au bord de ma mini de cuir, que je levai legerement pour que sa tete d'esclave puisse acceder à ma grotte ruisselante, qu'un léger voile protégé, qu'il se mit aussitot à lecher, je déguster mon dessert dans un état divin, julie voyant le spectacle décida de faire pareil, elle cria, au cul esclave, fait comme ton géniteur, j'approchais ma boouche de celle de julie, l'embrassai tendrement, je passais une main sur la tête de mon suceur, bien, quand je te l'ordonnerai, tu iras changer les draps de ton lit, j'aimerai que l'on poursuivre cet entretient plus intimement, compris esclave, oui maitresse, dis moi que tu  es heureux en ce moment, maitresse, depuis que ma femme maitresse est décédée, je n'ai cesser d'implorer le ciel de m'envoyai son égale, voilà, hé bien le ciel t'a répondu, et ma chatte tu l'as trouve coment, elle doit etre du nectar pour un maso comme toi, ho oui maitresse, bien sortez tous les deux et allez préparer le lit,  et je ne veux entendre aucun bruit, interdiction de parler entre vous, compris, oui maitresse, julie montrant qu'elle était là elle aussi, leur dit, approchez, ce qu'il firent, debout, baissez vos frocs, elle saisit leurs bites au garde à vous, à présent que vous étes à nos ordres, il est inconvenant que vous restiez habillés de la sorte, je vous veux à poil sous un tablier, ta femme à du t'en acheter, hein esclave dit-elle à eric, oui maitresse, alors allez,ouste, et executer mes ordres.       

   

   

Par severa - Publié dans : dominatrice
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Mercredi 31 décembre 3 31 /12 /Déc 09:12
Bonjour Valeria, tes dernières acquisitions d'esclaves ont eu un certain retentissement chez toutes les Dames de l'Ordre, tu les sais ?

Oui, oui, c'est ce que j'ai pu comprendre. D'ailleurs c'est pour ça qu'on se voit, non ?

Exact. Cet entretien est enregistré... Pour plus de clarté, nous allons évoquer le cas de tes esclaves depuis le début.

Allons-y. Par quoi je commence ?

Tu es une Dame discrète au sein de l'Ordre, présentes-toi rapidement, après ça ira tout seul.

Bon... Je suis une des rares Dames de l'Ordre à venir d'Amérique du Sud, je suis d'Argentine plus exactement. Ça n'avait aucun intérêt jusqu'à récemment, tout-à-l'heure on comprendra pourquoi je parle de ça. Depuis que je fais partie de l'Ordre, je n'avais jamais recruté moi-même un soumis, je me contentais de les acheter après les dressages...

Et quand on est une Dame de grade I, ça ne permet pas d'être suffisamment dotée en esclave...

Eh oui. J'avais toujours eu deux esclaves, ni plus, ni moins, plus ceux que je laissais en prison et qui ne coûtent rien pendant ce temps. J'avoue ne pas avoir le cran pour être de grade supérieur, mais j'étais jalouse de Dames de même rang que moi qui avaient trois, voire quatre esclaves !

Maintenant, parlons de tes récentes acquisitions...

C'était en Janvier dernier, j'étais retournée en Argentine pour des shootings. L'agence avait prévu une visite caritative dans je ne sais quelle baraque pour miséreux, et j'ai bien dû y aller... En ce moment en Argentine c'est vraiment la catastrophe, tout s'effondre, des pauvres partout... Moi, j'm'en foutais, tant pis pour eux... Et puis pendant la visite il y une femme en guenilles qui a osé s'approcher de moi de près, et elle m'a dit à haute voix "Je sais qui vous êtes... L'Ordre, tout ça ! Je veux juste vous parler !"

Elle t'a menacée ?

C'est ce que j'ai cru sur le moment. Je ne savais pas où elle avait entendu parler de l'Ordre, il fallait que je connaisse ses intentions. Au cas où... Le problème c'est qu'il y avait du monde tout autour de nous, et impossible de se mettre à l'écart. Tous ces gens sales et mendiants partout, et moi j'étais en tailleur noir tout en cuir, une coiffure sophistiquée avec des chaussures à talons, pour la discrétion c'était pas évident !...

Passons sur les détails, la suite...

Dans une rue près de là, deux heures plus tard. Je suis arrivée accompagnée par mon esclave personnelle, je n'avais même pas eu le temps de me changer ! Elle était là, avec deux garçons, tout aussi sales et repoussants qu'elle. Elle était émue jusqu'aux larmes, elle a dit à peu près ça : "On n'a plus rien, je n'ai plus rien pour les nourrir, nous n'existons déjà plus pour la société... On s'en fout de notre liberté, on veut juste vivre dignement, et être vos esclaves représente pour nous la meilleure issue possible..."

Ils troquaient leur liberté contre un peu d'attention de ta part ?

Oui, c'est ça. Plutôt esclave que misérable, c'est un credo qui m'a plu immédiatement.

Tu ne les a pas pris à ton service tout de suite après quand même ?

J'étais sûre de moi. Avant de finaliser leur servitude, je les ai humiliés à plusieurs reprises pour voir leurs réactions... Ils se sont vite retrouvés à mendier leur nourriture, puis je leur jetais mes restes, mais pour eux c'était toujours mieux qu'avant. Je vis entourée de luxe, mes esclaves en profitent nécessairement un peu... Je ne vais quand même pas me forcer à leur compliquer la vie !

A l'Ordre, on a eu les esclaves à tendance soumise et plutôt consentants, puis ceux un peu moins consentants, les admirateurs passionnés, et maintenant tu es la première à avoir des esclaves qui se soumettent parce que leur vie est insoutenable...

Je pense qu'il y a là un réservoir immense de gens tellement misérables et désespérés... Pour beaucoup la liberté est secondaire quand on risque de mourir dans une guerre, ou à cause de la famine, ou du manque de rêve tout simplement. Et en plus la plupart n'ont même pas la liberté à la base ! Alors tu imagines ce qui leur passe par la tête si une femme comme toi - riche, belle, fière et sans tabou - leur propose de devenir ses esclaves ?!

Tu ne crains pas que ça se limite à des pulsions immédiates, et qu'au fond il ne cherche qu'à sortir de leur situation, sans songer à respecter leur maîtresse ?

Comment répondre à ça ? J'ai trois esclaves, dont deux jeunes, qui m'ont littéralement confiée leur vie pour les sauver. Ils me vénèrent comme le messie, ils se battent presque pour nettoyer mes chaussures, ils se punissent eux-mêmes pour des erreurs que je n'ai même pas remarquées, pour moi c'est parfait.

 

Penses-tu que l'Ordre devrait exploiter cette ressource d'esclaves qu'on peut trouver partout dans le monde ?

Mais bien sûr ! Je suis comme une déesse lorsque je circule dans les quartiers populaires de Buenos-Aires... On pourrait penser qu'ils me haïraient pour mes privilèges, mais ils sont soumis par nature ! D'ailleurs tu pourras demander à Stéphanie, elle a fait quelque chose de similaire à Miami, il y a des Cubains en difficulté là-bas aussi...

Tu as des idées sur l'avenir ?

J'ai déjà commencé à préparer le terrain, je veux monter aux Dames les plus gradées que ce principe est bon.

Qu'as-tu fait ?

C'est très symbolique, mais c'est aussi très révélateur. J'ai repéré familles vraiment intéressées par la servitude, et à chacune j'ai confié une paire de chaussures. Dans deux mois j'irai voir ceux qui s'en sont le mieux occupé. Je sais que certains, pour prouver leur volonté, les vénèrent comme une relique de ma personne ! Tu te rends compte qu'il y a des gens dans cette ville chez qui trône une de mes paires de chaussures comme un bijou précieux et mis en valeur !

Tu parles beaucoup de familles ?

C'est systématique. C'est trop dur pour eux d'imaginer franchir le pas de l'esclavage seuls. En famille c'est plus facile. Ça se comprend... de mon côté, la mère est un peu moins bien, mais c'est compréhensible : elle a poussé ses deux gamins à devenir des esclaves. Mes esclaves !

En conclusion, qu'est-ce que tu dirais ?

Un homme ou une femme, de n'importe quel pays, plutôt que de se battre pour survivre dans la misère, préférera être l'esclave d'une femme riche et lui lécher les bottes tous les jours.

Par severa - Publié dans : dominatrice
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