jeunes maitresses

Jeudi 31 mars 4 31 /03 /Mars 11:10

un cadeau pour maman

un cadeau pour maman

Aline est arrivée en retard mais plus resplendissante que jamais, moulée dans une courte robe rouge, ses longues jambes fuselées gainées de noir. nerveux Jèrôme se lève pour l’accueillir, puis se rassied en face de celle à qui il a, quelques jours auparavant, envoyé une lettre lui proposant de devenir son esclave. va t-elle se moquer de lui? le traiter de pervers ? le sourire sarcastique avec lequel la jeune fille le dévisage, n’augure rien de bon. déjà, il regrette sa démarche, surtout en l’entendant lui lancer: amusante ta lettre… la gorge serrée, l’estomac noué, Jérôme baisse la tête. amusante mais intéressante. alors tu voudrais que je te domine ? et tu es prêt a tout pour ça ? regarde moi! “
le fin visage d’Aline est devenu sévère et ses yeux sombres ont un éclat nouveau. qu’elle est belle!… après le oui qu’il parvient à murmurer, elle reprend: je me doutais bien que tu étais un de ces types juste bons à ramper et obéir. je me demander seulement quand tu allais te décider.. ne t’en fais pas: les mecs dans ton genre, je sais comment les traiter! mais avant d’aller plus loin, je veux vérifier la qualité de la marchandise. va retirer ton slip et reviens, la braguette ouverte”. heureusement, l’arrière-salle du bar, ou s’ouvrent les toilettes, est déserte. quand Jérôme revient, le slip roulé en boule dans le creux de sa main, il se sent tout nu et bande déjà. jette ton slip sous la banquette et approche”.
Aline glisse une main dans l’ouverture et lui tâte les fesses puis les couilles, et la queue. celle-ci déjà gonflée, durcit encore sous les longs doigts aux ongles acérés. tu peux remballer tes joujoux. maintenant écoute bien: maman vient passer quelques jours chez moi et je veux lui faire une surprise, un cadeau pour qu’elle ne s’ennuie pas. ce cadeau c’est toi. pendant tout son séjour, tu vas donc la servir avec autant d’empressement que si c’était moi que tu servais, et lui donner du plaisir en acceptant tout ce qu’elle te fera subir, absolument tout. crois moi c’est une vrai dominatrice, une maîtresse expérimentée qui t’en fera baver. tu as intérêt à faire de ton mieux. si jamais tu la déçois, ta punition sera simple et sans appel: tu ne me reverra jamais. en revanche, si tu te montres à la hauteur, je saurais te récompenser… à ma manière! compris ? alors va chercher un taxi, on y va…” en se levant elle se penche à son oreille et lui jette dans un sifflement:” esclave!”
à peine le taxi a- t-il démarré qu’Aline agrippe Jérôme par le col: écarte bien les jambes, ouvre ta braguette et sors-moi tout” la jeune fille s’est exprimée à haute voix: le chauffeur à du entendre. les mains tremblantes, Jérôme obéit, faisant jaillir sa verge. de son sac, Aline sort un long lacet noir que, d’un tour de main habile, elle passe autour du scrotum de son esclave, le serrant au maximum avant de le nouer en le passant entre les testicules, à les faire éclater. cependant ce n’est pas fini: Aline entoure la base du gland d’un large ruban rouge, noué artistiquement comme un paquet cadeau. et voilà! emballé pour maman.. tu peux rentrer ton fourbi. attention au ruban!.
l’oeil narquois, elle le regarde faire puis reprend, toujours à haute voix: “les chiens comme toi ont en général une attirance pour les pieds. les miens te plaisent ? - bien sur maîtresse… vos pieds sont de toute beauté… je te permets de les renifler.. j’ai dit: juste renifler, sans lécher. pas comme ça crétin: tu ne sentira rien si tu ne te mets pas à genoux! “
Se laissant glisser sur le plancher du taxi, l’esclave se penche sur les élégants escarpins à talon haut. une légère odeur de transpiration se mêle au parfum du cuir. tout en ouvrant toutes grandes ses narines, il admire les chevilles fines, le galbe parfais de ses longues jambes, la rondeur fascinante des cuisses disparaissant sous la robe étroite…. placé comme il est, il ne peut voir plus haut mais ce spectacle lui suffit déjà, au point qu’il remarque à peine qu’Aline bavarde tranquillement avec le chauffeur. sentant une main de sa maîtresse lui tapoter la tête, il sursaute:” suffit, mon mignon, on est arrivés. paye donc le monsieur.”
rougissant, n’osant pas regarder le chauffeur en face, l’esclave lui glisse un billet. l’homme hilare, redémarre sans même rendre la monnaie.
Aline se dirige déjà vers un immeuble moderne, de sa démarche souple et impérieuse. ses longs cheveux noirs tombent sur ses reins et se balancent légèrement a leur rythme. la courbe arrogante des fesses est soulignée par la ligne presque imperceptible du slip. les muscles déliés des cuisses fuselées jouent sous les bas, d’un noir brillant…
hypnotisé, l’esclave la suit. devant l’ascenseur, un homme attend, une connaissance de sa maîtresse car ils rient ensemble, sans faire attention à lui. la gorge sèche mais la braguette prête à éclater, il entre dans la cabine à leur suite.
ce n’est que sur le palier qu’Aline se retourne, hautaine, d’une beauté insoutenable: tu as bien compris ce que j’attends de toi, esclave? oui maîtresse” d’un geste sur, elle lui dégrafe le pantalon qui tombe, puis arrange les ailes du noeud de ruban, au bout de la verge tendue, avant de déverrouiller la porte et d’entrer en tirant l’esclave par la cravate. les chevilles empêtrées, il a du mal à la suivre. à la porte du living, Aline l’abandonne pour aller embrasser une femme assise sur le canapé, avec qui elle se met à papoter tranquillement. ce ne peut être que sa mère. celle ci, en pantalon vert et chemisier blanc, est une dame un peu forte, aux cheveux gris tirés en chignon serré. presque aussi grande que sa fille, elle a le même style de beauté arrogante, malgré les marques de l’age est un certain embonpoint. le cul à l’air, la queue enrubannée, l’esclave se sent grotesque.
ce n’est qu’au bout d’un long moment que la femme s’enquiert de sa présence, d’un ton détaché: et ça qu’est ce que c’est? oh ça ? juste un petit cadeau… histoire que tu prennes un peu de bon temps pendant que tu es ici, maman chérie.- comme c’est gentil de ta part! de l’index, la dame fait signe à l’esclave d’approcher et commence par lui tâter les cuisses et les fesses, avant de s’attarder sur sa verge dont elle éprouve la rigidité en y enfonçant les ongles, tout en lui soupesant les testicules: de la chair fraîche… ça me changera de ton vieux débris de père! et ça s’appelle comment? je crois que ça sait même parler! - esclave Jérôme, à votre service maîtresse”. la mère se mit à rire: on dirait qu’il connaît aussi les bonnes manières! pas tout à fait maman: il ne t’a pas encore saluée.” l’esclave tombe aussitôt à genoux et pose les lèvres sur les chaussures basses de la dame, qui le regarde faire en souriant. Aline précise: je ne m’en suis encore jamais servie. j’espère qu’il te conviendra…- certainement ma chérie: il est mignon tout plein, bien monté et il a l’air docile. que demander de plus ? je sens que je vais bien m’amuser.. peut-être même que je vais être un peu méchante! ne te gène surtout pas: il est là pour ça! tu me connais: mon plaisir avant tout! jeune est plein de santé comme il est, il doit pouvoir supporter n’importe quoi, et il le supportera! et toi ma chérie ? je vais te laisser avec ton joujou. je passe la soirée chez richard: il a une nouvelle esclave, une jolie salope que nous allons traiter comme elle le mérite! amuse toi bien, ma petite chatte! Aline se lève, embrasse tendrement sa mère, puis lance un léger coup de pied à l’esclave, toujours prosterné: et toi tache de ne pas décevoir maman. N’oublie pas ce que je t’ai dit!..

la porte une fois refermée, la dame caresse la joue de l’esclave, en souriant: on n’a pas l’intention de décevoir maman, n’est ce pas ? - oh, non, maîtresse. je ferais tout ce que vous voudrez ! commence par te mettre à poil, mon mignon, tu as dix secondes!
n’osant pas se relever puisqu’il n’en a pas reçu l’autorisation, il se défait fébrilement de ses vêtement en se tortillant sur la moquette. une fois nu il se redresse face à sa maîtresse. l’oeil gourmand, celle-ci dénoue lentement le ruban qui entoure la verge…

fin

 

Par severa - Publié dans : jeunes maitresses
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mercredi 30 mars 3 30 /03 /Mars 00:00

aux pieds,les chiens! j'ai besoin d'un larbin pour s'occuper de moi, la récompense sera de me lecher les pieds ou les bottes, je lui donnerai en patures ma petite culotte, bien que j'aurais portée, ce n'est pa moi sur l'image, mais les males parait-il me voient encore plus belle, quand je les autorise a me regarder, qu'en pense tu larbin. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

016.jpgton cul tremble comme une feuille, je suppose que ça brule, et tout ça pour m'avoir contrarier, tu sais que je n'aime pas que tu te prenne pour un homme même en public, c'est moi qui parle, j'espére qu'aprés cette seance tu réflechiras à deux fois avant d'ouvrir ta grande gueule esclave.

 

 

_MG_4214.jpgtu vois, cher mari, j'ai fait de toi ma bonne, ma maitresse, car c'est moi désormais qui décide de te baiser, tu n'as plus de fric, puisque c'est moi ta maitresse qui gére tes comptes, je t'interdis de fumer, a part celle  qui sort de ma bouche, je te crache dessus et tu me dis merçi, je t'adore, je t'offrirais ma culotte quand je te remettrais à ta niche, tu l'aimes ta niche, mes vêtements sales te servent d'oreiller, tu as l'impression de dormir sur moi, mais rassure toi esclave, c'est  dans tes rêves, toi, je te réserve le droit de me torché le cul avec ta langue, et le plus marrant, c'est que tu aimes celà, allez va boire ton verre que je t'ai emplie avec amour et va coucher, demain tu te léve de bonne heure pour allez bosser, il faut bien m'entretenir, allez va esclave. 

 

 

02embrasse moi cherie, regarde comme je l'ai bien dresser, il n'ose même plus bander sans ordres, par contre, j'ai la chatte qui coule comme une fontaine, alongeons nous sur lui et faisons l'amour ma cherie, j'ai un god dans la table de nuit, hum, qu'elle délice d'avoir un mari docile, baise moi ma cherie.

 

 

 

  _MG_2120.jpgregardez mesdemoiselles, ce type etait une terreur pour sa femme, voilà une semaine que je le dresse et regardez, doux comme un agneau, sa gueule est à sa place, quand je serais satisfaite de lui, je lui permetrais de la retourner pour pouvoir sentir le sexe qui le domine, là, je le rendrais à sa femme, docile à souhait.

 

 

 

_MG_9125.jpgprosterne toi devant ta maitresse, esclave, regarde comme je suis belle, je t'ordonne de bosser pour moi, je te laisserai juste de quoi subsister, en prime, tu feras mon ménage, j'adore qu'un homme esclave lave mes culottes, doc ma lessive, et mon repassage, et tu feras tous celà à poil, pendant que je me détendrai dans le salon, c'est usant des males dans ton genre, baise mes sandale et va bosser faineant.

 

 

  12.jpgvoilà comment je laves mes culottes, moi j'adore, lui je m'en fou, mais à voir ses yeux, pour lui c'est devenu une drogue, il faut le voir me tourner autour à quatre pattes pour que je la lui offre, mais il a droit à cette récompense quand il a terminer le ménage, qu'il adore faire d'ailleurs, surtout laver le linge intime de sa maitresse, regardez le un vrai petit ange. aprésil me bouffera le cul, j'adore regarder la tele sa gueule entre mes cuisses, moi grignotant des fruits secs, lui ma mouille, on es un couple complet, je l'adore, il me venere.

 

 

2.jpgpendant qu'il s'occupe de mes pieds, j'adore lui envoyé la fumée de ma cigarette, lui à qui j'ai interdit ces petites douceurs, l'alcoll, le tabac, le petit verre avec ses copains, par contre, moi je fais tous ce que ce conard d'esclave ne voulait pas que je fasse quand il etait libre, je m'offre des parures en vinyle, des vetements en cuir, des cuissardes, lui doit bosser comme un fou, et en plus, je n'en fou plus une, vivre la femme dominatrice, allez chien, continu ton travail. 

 

 

Par severa - Publié dans : jeunes maitresses
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires
Lundi 28 mars 1 28 /03 /Mars 12:23

Bonjour, je vais vous compter ici l'histoire de ma déchéance. Je m'appelle Daniel, j'ai 42 ans et je suis prof de maths dans un lycée. Je me suis marié il y a 10 ans avec une femme sublime qui avait déjà une fille, Nina, d'un premier mariage. Celle ci a maintenant 16 ans et je dois avouer que j'ai toujours été très autoritaire avec elle, allant jusqu'à la rabaisser de temps en temps, lui faisant certainement payer le fait que du fait de sa présence, je n'avais jamais vraiment eu de vraie vie de couple avec sa mère. Je savais qu'elle m'en voulait mais j'avais pris tellement le dessus sur elle qu'elle n'osa jamais se rebeller.
La lassitude de la vie de couple aidant, j'avais une maitresse que je voyais régulièrement depuis presque 2 ans et ce jour ci, je profitais de l'absence de ma femme pour l'emmener chez moi. Les ébats étaient tellement torrides dans la chambre que je n'entendis pas la porte d'entrée s'ouvrir. Après une après midi de jouissance, je raccompagnais mon amante et me réjouissait de cette bonne affaire. J'étais bien loin d'imaginer que cette journée allait changer ma vie. En effet, quelle ne fut pas ma surprise en voyant que Nina m'attendait dans le salon, moi qui croyait qu'elle était en cours... Elle m'attendait tranquillement assise sur le canapé, vêtue d'un corsage, d'une petite jupe et de grandes bottes montantes au dessus du genou. Elle me regarda avec un sourire narquois pendant que je rougissais comme une pivoine. Elle me dit alors :
- Je crois que l'heure de ma revanche a sonnée!
- Je ne vois pas de quoi tu veux parler, lui répondis-je en bafouillant
- Ne me prends pas pour une conne!!! Je t'ai surpris avec ta greluche dans la chambre et j'ai tout filmé avec mon portable!
Le monde s'écroula autour de moi. Si elle montrait le film à sa mère, j'étais bon pour le divorce. De plus, j'avais énormément de dettes de jeu quand je me suis marié et mon épouse m'a sauvé financièrement en épongeant ces dettes. Je lui devais donc énormément d'argent et un divorce m'aurait ruiné. Nina savait tout ceci et elle reprit calmement :
- Je te propose un marché. Je suis prête à ne pas montrer cette vidéo à ma mère si tu acceptes d'obéir au moindre de mes ordres. Tu m'as suffisamment humilié comme cela et il est tant que je prenne ma revanche. Je te laisse 2 minutes pour réfléchir. Si tu acceptes, je veux que tu t'agenouilles devant moi, les yeux baissés et que tu dises bien fort : j'accepte d'être votre esclave, maitresse Nina, et j'obéirai au moindre de vos caprices.
J'étais mortifiée, cette petite peste me tenait par les couilles et comptait bien en profiter. Paradoxalement, cette situation m'excitait et je sentis mon membre se dresser et prendre une place considérable dans mon boxer. Je ne pouvais me défiler et au moment où elle me dit: il reste une minute, je m’avouai vaincue. A ma courte honte; je me mis à genoux devant cette fille que j'avais toujours rabaissé, je baissai la tête et m'entendis dire : j'accepte d'être votre esclave, maitresse Nina, et j'obéirai au moindre de vos caprices.
Elle me regarda d'un air ironique et me dis :
- C'est très bien, esclave. A partir de maintenant, tu devras me vouvoyer et m'appeler maitresse Nina. Je te donnerai le reste des règles petit à petit. Pour bien te rendre compte de ta soumission, je veux que tu embrasses mes bottes!
Je ne pouvais qu'obéir et je déposai, rouge de honte, un baiser sur chacune de ces bottes. Elle profita ensuite de ma position pour poser une de ses semelles sur ma nuque et la laissa bien 5 minutes, que je puisse bien m'imprégner de mon nouveau rôle, comme elle me dit... Elle voulut ensuite que je lui retire ses bottes et ses chaussettes. Il faisait très chaud ce jour ci, elle avait porté ces chaussettes toutes la journée. Une forte odeur s'en dégageait et elle me demanda à mon grand écœurement de respirer ses chaussettes à pleins poumons. Elle me laissa faire 5 minutes puis alluma la télé et m'ordonna de lui lécher les pieds. L'humiliation était totale!!! Me voilà réduit au rang de chien!! Je voulu me révolter, puis je pensai au divorce et je me mis docilement à lui lécher les pieds, du talon jusqu'aux orteils. Elle insista pour que je passe ma langue entre ses orteils pour retirer toutes les impuretés et rigola en se moquant de moi. Elle me dit :
- Voilà ce qui t'attends. Tu devras me vénérer comme une déesse et te dire que mes pieds sont désormais une de tes plus importantes préoccupations.
Voilà comment j'étais devenu le jouet de ma belle-fille de 16 ans... Elle fit durer l'adoration de ses pieds pendant une bonne heure. Elle regarda l'horloge et vit que sa mère n'allait plus tarder à rentrer. Elle me lança :
-Maman va arriver, on va s'arrêter là pour aujourd'hui mais tu ne paies rien pour attendre On se retrouve ici demain à 18 heures après mon footing. Je veux que tu m'attendes nu, à genoux, la tête baissée. Et dis-toi que par rapport à ce qui t'attends demain, notre petite séance d'aujourd'hui n'est qu'un petit avant gout. Allez, file et sois à l'heure demain. Attends, je veux que tu embrasses la semelle de mes bottes avant d'accueillir maman...
J'exécutai ma dernière humiliation de la journée avec application, malgré la saleté évidente de ses semelles. Elle me regarda faire avec un air à la fois triomphant et méprisant et je pouvais bien imaginer son string complètement trempé de me voir me ridiculiser devant elle.
Ma femme rentra 5 minutes plus tard et l'on passa la soirée en famille comme si de rien n'était. Je ne dormis pas de la nuit en pensant à ce qui m'attendait le lendemain et à ce qu'allait devenir ma vie.

Le lendemain, rentrant du lycée, je corrigeais quelques copies dans mon bureau, nu pret à la recevoir comme elle l'avait exigée quand elle rentra de son jogging, elle ouvrit la porte, s'avança vers moi, m'offrit sa basquette à baiser, dis bonjours en bon chien que tu es, puis elle me regarda d'un air hautain, je vois que tu as des kilos à perdre, tu vas me suivre au grenier et l'on va commencer tes exercistes,  dans le grenier, elle s'assieds sur mon dos, et m'ordonna, commence par vingt pompes, si tu t'écroules, tu recommences, moi j'ai tout mon temps, je craquais à la quinzieme, elle ria, je m'en doutais, allez recommence, je reussis, bien, exerciste physique, pas trés en forme dit-elle, demain on passera à trente, suis moi a la salle de bain, tu vas me laver, ce que je fis, la quequette à l'air, je bandais comme un fou, garde ça pour ma mére, ensuite elle alla dans sa chambre et se changea, moi toujours à quatre pattes en la suivant, elle passa un string, une jupe en jeans serrée à la taille par un énorme ceinturon, elle me dit, vu mon statue maintenant ici, tu ne crois pas qu'une tenue de cuir serais plus appropriée, je te charge de cela esclave, et pense aussi à des bottes, ou mieux encore, a des cuissardes, bon y faut que je me tire, toi tu ranges et nettoie ma chambre, et aussi mes vêtements, mon string tu le mets dans ta bouche et tu le laves de cette façon, et entraine toi pour demain, car j'ai l'intention de vraiment m'occuper de toi. et, j'oubliai, interdiction de te branler, sous peine de correction, je baissais la tête et dit: oui maitressse. 

je me suis mis à l'ouvrage, je savais que dans les débuts, il fallait que j'obeisse à la perfection, ensuite elle me laisserait du lest, c'est du moins ce que je pensais, je fis ce qu'elle m'avait ordonné, sa chambre était nickel, sa culotte aussi, je l'avais encore en bouche quand ma femme entra, elle m'embrassa sur les lévres et ne remarqua rien, je filai dans mon bureau le mettre sécher, quand je descendis, ma femme discutait avec nina, je n'osais pensé ce que disais la petite, ma femme me dit, viens mon chéri que je te bise pour te remercier, me remercier de quoi, nina viens de m'apprendre que tu lui paie une nouvelle garde robe, tu es chou, je n'osais regarder nina dans les yeux, je répondis à ma femme, oui j'ai décider d'etre genereux avec elle, tant mieux repondit ma femme, puis se tournant vers sa fille elle dit, ben, nina, tu ne remercie pas daniel nina s'opprocha de moi et me fit la bise en me chuchotant à l'oreille, merci esclave. puis elle ria, j'ai hate que tu m'emmenes choisir mes vétements. 

le lendemain, à peine sa mère partit pour son travail, je déjeunais dans la cuisine, soudain j'entendit, j'ai faim, je montai à l'étage, frappai à la porte de sa chambre, je suppose que ma mére est partie, oui maitresse, alors qu'est ce que tu foutais en bas, je déjeuner, ah, et monsieur déjeune avant sa maitresse, monsieur se croit encore libre, tu as besoin d'un serieux dressage esclave, tu dois, tout demander, tu n'es plus l'homme libre que tu étais, tu es à ma botte, ne l'oublie jamais, allez va me préparer mon déjeuner, et améne le ici, allez grouille esclave.

quand je lui montait son plateau, nina fumait, je fus surpris, qu'est ce que t'as à me regarder de la sorte, mais maitresse, vous fumez, oui et j'aime bien boire un verre d'alcool de temps en temps, en quoi cela te regarde, votre mère va etre furieuse, non puisque je t'ordonne de te taire, de fermer ta gueule d'esclave, c'est compris, je baissais la tête, bien je vois que tu as compris, elle mangea comme une ogresse, tu vois, demain ton déjeuner sera mes restes, bien va chauffer la bagnole, et en route pour dépenser ton fric pour ta maitresse. je descendis le plateau et attendait nina dans le garage, elle arriva toute pimpante, je lui ouvrit la portiére pres du chauffeur, mais elle refusa, préférant s'installée dérriére, j'ai toujours rêver d'avoir un chauffeur et tu fais trés bien l'affaire, sur la route, je regardais discretement dans le rétro, ma maitresse me regardait en souriant, cette nuit dit-elle, j'ai entendu du bruit dans la chambre de ma mére, tu l'as sauter n'est ce pas esclave, oui maitresse, j'étais trop excité de vous appartenir maitresse, elle ria, alors tu as fait l'amour à ma mére en pensant à mon cul, c'est ça batard, oui maitresse, je vous demande pardon, alors maintenant ca t'excite de m'obeir, et bien mon petit esclave, sache que moi je ne conçois plus la vie sans chien à maltraité, elle ota le chewingum qu'elle avait en bouche et me dit, tiens, avale, ja sais etre bonne, allumant une cigarette elle dit, la fumée te dérange j'espére, oui maitresse, alors il faudra t'habitué, c'est toi l'esclave. et à partir de maintenant, je vais régler ta vie sexuel, tu feras l'amour à ma mére quand j'aurais envie que tu le fasses, he tourne à droite, le magasin d'ou je veux aller est dans cette rue, bien maitresse.

nous entrons dans le magasin qui fleurait bon le cuir, une femme vint nous acceuillir, monsieurs va t-il trouver son bonheur, ho madame, c'est pour ma fille, elle adore ce genre de vêtement, et vous êtes à sa botte, vous ne pouvez rien lui refuser, c'est exactement ça madame, alors cherie dit-elle, qu'est ce qui te ferais plaisir, je voudrais le combi-short en vinyle,  le pantalon de cuir, taille trente six, elle essaya plusieurs habits, puis vint le tour des bottes, elle tiquait sur des bottes dessous mollet, ou des cuissardes, et si je prenait les deux, dit-elle en venant se coller à moi discretement, comme vous voulez maitresse, alors allons-y, je prends les deux, j'allais payer, quand elle me dit, et pour maman, tu n'achétes rien, elle choisit un deshabillé en cuir noir, mais ta mére ne voudra jamais mettre ça, ecoute me dit elle, tu es là pour m'obeir, pas pour discuter, paie et on y va, sur la route, elle décida d'arreter dans un bar, j'ai soif dit-elle, nous nous installames en terrasse, elle dit au barman, un wiski et un verre d'eau, je me dis elle est plus gentille que je croyais, mais quand vint les verres, le verre d'eau etait pour moi, elle alluma une cigarette et ne voyant pas l'utilité de soufler la fumée ailleurs que sur mon visage, puis me souriant elle dit, bonne journée hein esclave...  à suivre.        

Par severa - Publié dans : jeunes maitresses
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Mardi 27 janvier 2 27 /01 /Jan 11:54

severine

30 novembre, 2007

ou le pouvoir des cuissardes.

 une paire de bottes, portées par une jeune beauté craquante, a suffit pour réveiller le chien qui dormait en lui!

parmi la centaine de jeunes gens auxquels il fait cours tous les vendredis, cette fille à immediatement retenu son intention. de courts cheveux auburn, des yeux d'un bleu metallique dans un visage au charme troublant, un mélange de grace et d'assurance dans la démarche, tout en elle est mis en valeur par l'elegance discretement provocante de sa tenue, chaque semaine différente, loin du style négligé de la plupart des étudiantes. cependant, le plus fascinant en elle est la touche de cuir invariablement présente_vêtements, ceinturon ou bottes_, qui lui donne une incontestable allure de dominatrice.

ce n'est pas la premiére fois qu'Antoine fantasme sur l'une de ses éléves: souvent, il se branle devant les photos d'identité des plus excitantes et lorsqu'il doit honorer le corps fade de sa triste épouse, la pensée de ces jeunes beautés est le seul moyen d'afficher un minimum de virilité. néanmoins, il a l'intuition que séverine va supplanter, dans ses rêves, toutes les autres. evidemment, il va la favoriser outrageusement….

aujourd'hui, en la voyant, ilen a le souffle coupé:la taille serrée par un large ceinturon, moulée dans un pantalon de strech vert bouteille, la jeune fille est chaussée de haute cuissardes de cuir noir. le cours devient vite un véritable supplice. le regard d'antoine est irrisistiblement attiré par les bottes de séverine, jambes haut croiséesn semble prendre un malin plaisir à exhiber sous son nez. tout en parlant, il ne peut s'empecher de s'imaginer, rampant aux pieds de cette créature de rêve, la suppliant de l'autoriser à les lui lécher. cette idée la tenaille tellement qu'il a de plus en plus de mal à se concentrer sur ce qu'il racontre.

enfin le cours se termine. comme si elle avait compris ce qui se passe dans la tête de son professeur, Séverine lui lance un petit sourire narquois avant de s'éloigner, hautaine est superbe.Antoine doit se retenir pour ne pas se précipiter à sa suite et se jeter a ses pieds.

tachant de conserver une contenance digne, il gagne son bureau. une fois seul, son trouble ne diminue pas, au contraire: l'image de cette fille fascinante l'obséde plus encore qu'en sa présence, comme le prouve son énorme érection. bien sûr, il pourrait simplement se masturber mais se ne serait pas suffisant car son excitation est trop forte pour être calmée aussi facilement. c'est d'autre chose qu'il a besoin d'urgence.

dans ce genre de circonstances, la meilleure solution est d'aller voir au plus vite laurence. antoine a eu la chance, dans cette ville de province ou il enseigne, de faire la connaissance d'une jeune femme sachant manier le fouet avec compétence est rigueur. or ce dont il a besoin en ce moment, c'est d'avoir mal en recevant l'une de ces magistrales corrections q'elle seule est capable de lui administrer.

allo maitresse? est ce que je pourrais venir vous voir? aujourd'hui je n'ai pas trop le temps…._ il me faudrait une correction sévére. j'en ai besoin tres vite…._ bon tu n'as qu'a passer et je trouverais bien un moment pour te filer une bonne dérouillée._ merci maitresse!..

rassuré, Antoine se dépêche quand même de partircar le campus universitaire se trouve à l'exterieur de la ville et, comme il n'a pas de voiture, il doit attraper le prochain bus. malheureusement, un collégue importun insiste pour lui parler et le temps de l'éconduire poliment, le bus est passé. une bonne demi heure à attendre… soudain, une voiture de sport s'arrête brusquement devant lui. la portiere s'ouvre: ( je vous dépose!., lui lance séverine avec un grand sourire.

sans même réfléchir, bredouillant un merci, antoine monte dans la voiture de la jeune fille qui démarre sur les chapeaux de roues. tassé dans son siége, il ne trouve rien à dire, se sentant à la fois trés gêné et terriblement excité d'être assis prés d'elle. aprés avoir vainement tenté de regarder que la route, ses yeux finissent par se poser sur les fascinantes cuissardes de sa conductrice. elles sont belles; n'est-ce pas, mes bottes!_ oui trés belles..répond-il la gorge serrée, tout en détournant son regard et en rougissant. jamais, il n'aurait dû…tu peux continuer à les regarder puisque tu en as tellement envie. d'ailleurs, tu n'as pas arrêté de toute la matinée! ce brusque passage au tutoiement de la part d'une gamine qui est son étudiante, il s'en aperçoit à peine tant elle le trouble. il fixe à nouveau les bottes. séverine a un petit sourire puis reprend; ca fait un moment que je me suis rendue compte que tu étais un vieux vicieux! je parie que tu es en train de bander! non? que répondre! qu'effectivement il n'en peut plus de bander depuis le premier jour! qu'elle est une jeune deesse à laquelle il rêve de se soumettre! seulement maintenant, ce n'est plus un fantasme….

brusquement, séverine se gare sur le bas-coté et coupe le contact. antoine n'a toujours pas quitté ses bottes des yeux. tu aimerais bien les lécher, pas vrai! comme un chien que tu es! regarde moi est répond! le ton est soudain devenu imperieux. docilement il léve la tête. le visage de la jeune fille est transformé:plus de sourire, mais un éclat dur dans le regard. sa beauté s'est faite sévére, encore plus fascinante. oui je voudrais bien pouvoir  lécher vos bottes… un léger sourire de mépris se dessine sur les lévres sensuelles de l'arrogante beauté, puis elle redevient sérieuse: alors demande le moi, crétin! mademoiselle… est que je pourrais lécher vos bottes? s'il vous plait, mademoiselle… Antoine se senttout à coup soulagé d'avoir osé franchir le pas, même s'il l'a fait sans réflêchir. Séverine le fixe un instant avant de lui lancer: alors qu'est-ce que tu attends! chien? glissant maladroitement de son siége, il se met à genoux tandis qu'elle lui tend sa botte droite, tout en précisant: pour l'instant, tu ne léche que les semelles. elles ne sont pas trop propres et je les veux impeccables! léche bien! que je voie ta langue de chien! et n'oublie pas de bien sucer les talons.

sans plus attendre, antoine se précipite sur la botte offerte. sa langue parcourt avec délice la surface un peu rugueuse, s'arrêtant juste le temps de déglutir pour avaler la poussiére et les gravillons qu”elle vient de retirer. le merveilleux parfum du cuir l'enivre pendant qu'il s'active avec une ardeur grandissante, se delectant de s'humilier devant cette superbe créature en lui prouvant sa complête soumission. comme elle l'a dit, il est un chien mais fier de l'être, lorsqu'il fait aller et venir le talon dans sa bouche, aussi profondemment que possible…

sufit ! à l'autre maintenant !” bien que Séverine se soit tournée légérement, c'est plus compliqué pour la botte gauche que pour la droite, et il est obligé de se glisser sous le tableau de bord. pendant ce temps, elle a posé l'autre pied au creux de ses reins sur lequels elle semble prendre plaisir à peser de tout son poids, tout en l'encourageant d'un ton moqueur: léche mon chien, léche bien!” atteignant enfin la semelle, la langue d'Antoine se met à nettoyer avec autant d'application et de dévotion que la précédente. pour le talon, impossible de le sucer réellement, et il doit se contenter de passer la langue tout autour. la verge tendue à en éclater, il espére que ses efforts lui vaudront d'être autorisé à lecher les cuissardes sur toute leur longueur. c'est bon. ça va comme ça. tu ne sais pas vraiment lécher, mais au moins, tu y mets de la bonne volonté. redresse toi ! Antoine commence à essayer de  regagner son siége quand une tape séche sur le sommet du crâne l'arrête net. je t'ai dit de te redresser, pas de te rasseoir ! tu peux me regarder mais tu reste là ou tu es, à genoux et mains sur la tête. Compris ?_ oui mademoiselle !” répondid-il  les yeux levés vers la jeune fille qui, trés à l'aise et de nouveau un sourire narquois aux lévres, allume une cigarette, avant de lui souffler une bouffée de fumée dans la figure. c'est plutot “maitresse” qu'il aurait fallu dire, pense t-il en regrettant de ne pas l'avoir fait, car c'est aux pieds d'une véritable dominatrice qu'il se trouve. finalement, il suffit de savoir te parler pour que tu obeisses en vrai chien que tu es ! avancant un pieds, elle appuie sur son entrejambe de la pointe de sa botte: ” et un chien en chaleur à ce qu'il me semble. ouvre-moi ta braguette et sort ton bazar que je voie un peu! “ fébrilement, Antoine s'exécute avant de reprendre sa position, le penis fiérement dressé. la botte caresse celui-ci avant de le plaquer brutalement contre le ventre. “je parie que si j'insiste, tu vas gicler ta cochonnerie mais pas question: ca se mérite, ces choses là… pourtant, il sent que, si elle continue, il va éjaculer et il essaie désespérément de se controler jusqu'à ce qu'enfin elle retire son pied”… et toi tu es loin de l'avoir mérité, pas vrai ?_ oui maitresse! la réponse fait rire Severine, d'un rire cruel et moqueur:” mais c'est que ça connait les usages,ça, Madame ! tiens cadeau!” Riant toujours, elle le gifle, d'un aller-retour sec qu'il encaisse avec bonheur: enfin elle l'a frappé… merci maitresse!_ pour l'instant, tu n'es qu'un chien. je vais t'emmener à la maison et on va voir ce que tu as dans le ventre. si tu te montre à la hauteur, alors peut-etre, mais seulement pet-être, je me déciderai à te dresser vraiment. il faut que tu saches que je suis exigeante et que je ne te ménagerai pas. aucune objection! oh non maitresse ! je ferai tout ce que vous voudrez !_ c'est ce qu'on va voir…. parfait, allons-y ! tu vas faire connaissance avec mes cravaches: c'est comme les bottes, j'en ai toute une collection…. en attendant baisse ton froc et reste à genoux, mains sur la tête. tu as le droit de regarder mes bottes!…

Tandis que la jeune fille démarre, Antoine se sent emporté par un bonheur soudain. les yeux rivés sur les bottes qui actionnent nerveusement les pédales, les fesses à l'air, il ne pense plus à son rendez-vous avec laurence, ni à sa femme qui l'attend ce soir. rien ne compte plus que la joie d'avoir trouvé une vrai maitresse. une heure auparavant, Séverine était une étudiante. maintenant, elle est une dominatrice de rêve, belle autant que cruelle à laquelle il est prêt à tout sacrifier, carriére, famille…

le trajet n'est pas long. apés un virage brusque, la voiture roule sur du gravier avant de s'arrêter. risquant un coup d'oeil, Antoine s'aperçois qu'il se trouve dans la cour d'un petit hotel particulier mais il rabaisse bien vite la tête en entendant une voix féminine: Bonjours ma chérie !” bonjours maman ! je rapporte une surprise…” Séverine descend, fais le tour de la voiture, ouvre la portiére et jette Antoine dehors en l'agrippant par les cheveux. pantalon sur les chevilles, le nez dans le gravier, il a tout juste le temps d'entrevoir une paire de jambes bien galbées, chaussées d'escarpins noirs. un vigoureux coup de bottes dans les fesses le propulse dans leur direction. dis bonjours en bon chien que tu es !” docilement, Antoine commence à lécher….

                                                           FIN

                                

Par severa - Publié dans : jeunes maitresses
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mercredi 14 janvier 3 14 /01 /Jan 13:31

Le meilleur ami de la femme




"Sophie ? C'est Elodie. Dis-moi, je te propose un petit changement de programme. Passe plutôt chez moi, ça ne te dérange pas ? Non ? Super ! D'accord, tu n'auras qu'à me passer un coup de fil... Tu préfères que je vienne te prendre en voiture ? Non ? Bon, comme tu voudras... A tout à l'heure alors. Bise."

Elodie éteignit son téléphone portable et se tourna vers moi, satisfaite

"Ok, on ramène le monstre et on attend tranquillement chez moi.... J'espère que ça te convient ? Comme ça, tu verras comment je suis installée..."

Le "monstre", c'était le chien de Sophie, sa meilleure amie. Un labrador dont nous avions la garde, pour l'après-midi, et qui était vautré sur la banquette arrière de la voiture d'Elodie. Celle-ci mit le contact, pressa l'accélérateur. Le V6 de la Golf se mit à vrombir. Machinalement, je voulus regarder le mouvement de ses pieds sur les pédales... Hélas, la console centrale les masquait à ma vue. De toutes les manières, elle portait des chaussures de sport, sans chaussettes comme à son habitude. Je dus donc me contenter de regarder ses jambes, parfois ses chevilles, et d'imaginer le reste...

Je n'avais guère été consulté sur le programme de la journée. Elodie est une fille extrêmement directive. Elle a vite pris un tel ascendant sur moi qu'elle estime généralement que je me dois de me conformer à ses moindres désirs et que sa volonté s'impose nécessairement à la mienne. Dans une certaine mesure, je ne devrais pas avoir d'autres volontés que les siennes. La suite des événements allait le montrer de manière plus éclatante encore.

Nous ne nous fréquentions alors que depuis quelques semaines mais nos caractères et nos envies étaient tellement complémentaires qu'il me semblait la connaître depuis bien plus longtemps... Il est vrai que je me montrais très docile avec elle, tant par désir de lui plaire qu'en raison du plaisir diffus que j'éprouvais à lui obéir. Elle n'avait pas tardé à prendre la mesure du pouvoir qu'elle avait sur moi et en jouait avec gourmandise.

Après un rapide tour de son appartement, que je visitais pour la première fois, nous nous installâmes dans le salon. Elle sur le canapé, moi sur une chaise. Elle tendit la télécommande, alluma le téléviseur et poussa un soupir d'aise en étirant ses jambes. Elle changeait régulièrement de chaîne, au gré de sa fantaisie, ce qui nous permit de bavarder de choses et d'autres puisqu'il était inutile de prêter une grande attention aux programmes. Au bout d'un moment, Sultan, le labrador de Sophie s'approcha du canapé, flairant le sol. Puis, comme font tous les chiens, il s'affala lourdement aux pieds d'Elodie, la tête contre le sol. A ce moment précis, je me dis que j'aurais volontiers échangé ma place avec ce crétin d'animal. Je n'avais pourtant encore rien vu...

Elodie regarda le chien, leva les yeux vers moi et me sourit. Puis, à ma grande surprise, elle posa doucement son pied sur le dos du gros chien. La vue de sa petite chaussure de sport blanche et rose ainsi posée sur le pelage beige de l'animal me fit une sensation étrange. Elodie me regardait toujours avec une mine espiègle, un rien provocante. Avec son deuxième pied, elle commença à presser délicatement le museau du chien contre le sol. Celui-ci se mit à gronder sourdement... Elle posa alors son pied sur le dessus du crâne du labrador, qui me parut plus plat que jamais...

Je n'en revenais pas du spectacle qui s'offrait à mes yeux. Pour cacher mon excitation, je fis mine de m'indigner

"eh, pourquoi fais-tu ça ? Tu n'as pas le droit..."

Elodie se mit à rire

"Pas le droit ? Pas le droit de quoi ? Je fais ce que je veux ! Moi ça ne me dérange pas... d'ailleurs, il n'a pas l'air de se plaindre..."

En effet, le chien continuait à émettre de drôles de gémissement sous la pression des pieds d'Elodie

"Enfin, tes chaussures sont sales, c'est pas une manière de le traiter..."

Elodie me regarda avec malice. Même à moi, ces arguments paraissaient idiots tant ils sonnaient faux.

"Tu t'inquiètes beaucoup pour ce chien, il me semble... Tu ne serais pas jaloux de lui plutôt ?"

Cette question-piège me prit complètement au dépourvu. La suite se passa comme dans un rêve... Elodie donna un coup de pied dans le flanc du chien, pour l'inciter à débarrasser le plancher. Plantant ses yeux dans les miens, elle m'ordonna de venir prendre sa place. "Viens, Eric... Viens te coucher à mes pieds... à la place du chien" Je restai un instant ahuri, incapable de remettre de l'ordre dans mes pensées Comme pour me sortir de ma stupéfaction, elle claqua des doigts et pointa son index vers le sol "Alors ? J'attends... Viens te coucher à mes pieds, je suis sûre que tu en meurs d'envie.."

Comment aurais-je pu lui résister ? J'avais l'impression d'être hypnotisé par elle et qu'elle lisait dans mes pensées. L'instant d'après je n'étais plus pour elle qu'un tapis humain...

"Retire ton tee-shirt"

J'obéis prestement. Sans précautions particulières, elle cala l'arrière de ses semelles contre mes côtes et se débarrassa de ses chaussures. Puis elle posa fermement ses pieds nus sur mon dos. Ils étaient chauds et humides. Leur contact me fit frissonner et je me mis à gémir de plaisir tandis qu'elle les frottait sur moi.

"J'étais sûre que ça te plairait... mais peut-être pas autant qu'à moi... j'adore sentir une peau douce et chaude sous mes pieds... Est-ce que tu trouves que j'ai de jolis pieds ?"

En disant cela, elle retira son pied droit de mon dos et le glissa juste sous mon nez. Je dus faire un effort pour soulever ma tête du sol, d'autant que la pression de son pied gauche me clouait littéralement au sol, mais cet effort fut amplement récompensé. C'était la première fois que je voyais les pieds nus d'Elodie. J'avoue que je redoutais que comme trop de filles, elle attache moins d'importance à ses pieds qu'à ses mains. Que ses ongles par exemple ne soient très courts et vernis de rouge par habitude. Au lieu de ça, j'avais sous les yeux un pied mignon comme tout. Des orteils adorables, un peu courts, un peu charnus, mais émouvants comme des pieds de bébé. Le second orteil un peu plus long que le pouce. Des ongles non vernis, certes un peu longs mais bien entretenus et très sains. Joliment bombés, mais pas trop. L'ongle du gros orteil à peu près aussi large que long, les bords saillants soigneusement arrondis pour éviter qu'ils ne blessent. Je ne pus m'empêcher de déposer un baiser plein de passion sur ce pied magnifique, ce qui la fit rire de plaisir

"Voilà une réponse qui me plaît ! Au fait, mes pieds ne sont pas très propres... je ne les ai pas lavés aujourd'hui. Et puis il a fait chaud, j'ai dû transpirer dans ces baskets... Ça ne te dérange pas, j'espère ?"

Non, ça ne me dérangeait pas. Pas du tout. Mais de toutes les manières, Elodie s'en moquait complètement, parce qu'avant même que j'ai pu ouvrir la bouche pour lui répondre, elle posa lourdement ses deux pieds sur ma tête, avant de m'obliger d'une pression ferme à tourner ma joue droite vers le haut. Elle entreprit ensuite de frotter intensivement ses plantes de pied contre mon visage. C'était une sensation incroyable, étrange. Ma tête allait et venait au rythme des impulsions qu'elle lui donnait. La peau de ma joue qui s'étirait et se déformait sous la friction, mon oeil presque écrasé par le bord de son pied. Mon visage malaxé rythmiquement, heurté, malmené, échauffé. L'odeur douceâtre des pieds d'Elodie qui s'infiltrait dans mes narines, la transpiration de ses pieds qui pénétrait ma peau et l'imprégnait de son parfum aigre-doux. Le piétinement se faisait plus insistant, plus douloureux. Ses talons me heurtaient le nez, les lèvres. La plante de ses pieds écrasait et déformait ma joue, abandonnait un instant le contact pour revenir frotter plus fort encore au passage suivant. J'entendais Elodie se moquer de moi, me comparer au chien qu'elle avait pareillement maltraité. Elle s'amusa à me gifler en battant rapidement des pieds pour qu'ils viennent claquer sur mon visage. Enfin, elle m'ordonna de me tourner sur le dos et plaqua ses deux pieds dans ma figure

"Sens mes pieds... Ils sentent fort, pas vrai ? J'ai toujours eu envie d'obliger un homme à me sentir les pieds... tu n'imagines pas à quel point ça m'excite de te forcer à flairer mes pieds... Allez ! mieux que ça, plus fort... Sens bien entre mes orteils... Obéis-moi, tu n'as pas le choix. Dis-moi que c'est bon, dis-moi que tu aimes l'odeur de mes pieds et je ferai de toi mon esclave... "

Elle pressait ses pieds sur mon visage avec tant d'insistance que j'en étouffais presque. Je m'efforçais du mieux que je pouvais de la satisfaire, insérant mon nez entre ses doigts de pied, respirant leur parfum jusqu'à l'ivresse. Je finissais par perdre toute sensation du monde extérieur le visage ainsi frotté et échauffé, les yeux fermés. Seuls restaient actifs mon odorat, saturé par l'odeur puissante des pieds d'Elodie, et mon ouïe, ce qui me permettait de mesurer toute l'étendue du plaisir qu'elle prenait à me traiter ainsi. Tous les sarcasmes dont elle m'accablait prenaient une dimension hautement érotique tant le ton de sa voix en devenait "sexy". Je finis par me laisser entièrement submerger par ces sensations et à me laisser utiliser comme bon lui semblait, obéissant au moindre de ses ordres...

Au bout d'un temps indéterminé, Elodie se leva et m'ordonna de la rejoindre près du mur, juste derrière le canapé. Elle insista pour que je vienne vers elle en rampant, ce qui me parut plus facile que de me lever tant j'étais étourdi du piétinement qu'elle venait de m'infliger. Je vins donc m'allonger parallèlement au mur et elle monta de nouveau sur mon dos, sans plus de considération que si elle montait sur une estrade. Appuyée contre le mur, elle se mit à me fouler aux pieds méthodiquement, sans cesser de m'humilier verbalement. Une fois encore, je perdis rapidement le sens de ce qui m'entourait. Je n'écoutais plus que sa voix captivante et lui abandonnais mon corps pour qu'elle le piétine à sa guise.

Elle m'ordonna de me tourner pour lui présenter mon ventre et j'obéis. Elle me regarda en souriant, comme pour me remercier de lui offrir les parties les plus sensibles de mon corps. Mais ce que je pris pour de la gratitude n'était peut-être que de la cruauté... Les piétinements reprirent en effet de plus belle. Bien plus douloureux aussi, mais elle ne paraissait pas s'en inquiéter. Je sentais mon ventre s'enfoncer sous ses pieds soyeux, ma poitrine écrasée, oppressée. Je ne parvenais plus à faire la distinction entre la douleur et le plaisir tant mes sens paraissaient s'affoler. Ses moqueries me rendaient fou. J'étais hypnotisé par la joie méchante qu'elle éprouvait à m'écraser, à m'anéantir ainsi sous ses pieds. Comme si elle piétinait une bête malfaisante. Mis à mort sous ses pieds ravissants... Son pied sur ma gorge... Son regard brillant que j'entrevoyais si brièvement... La pression... étranglé... mes yeux qui se fermaient... son rire... Elle disait qu'elle adoraient sentir mes muscles se contracter puis céder sous ses pieds, que cela l'excitait de sentir mon corps s'aplatir sous ses pieds, qu'elle se sentait toute-puissante, qu'elle pouvait faire de moi ce qu'elle voulait. Elle me compara à un serpent et affirma qu'il lui revenait, en tant que femme, de m'écraser la tête sous son talon... J'ignore d'où lui venait cette idée, mais elle la mit à exécution avec jubilation...

Je dus rester un instant prostré, éreinté, avant de me rendre compte qu'Elodie avait cessé de me piétiner. Je l'entendis aller et venir, parler au chien, mais le canapé m'empêchait de voir ce qu'elle faisait. Elle revint enfin, m'enjamba et s'assit sur ma poitrine en immobilisant mes bras avec ses genoux.

" Voilà un petit accessoire qui va nous être bien utile..." Elle tenait le collier du chien dans sa main ! J'étais tellement éprouvé par le piétinement intensif que je venais de subir que je ne parvins même pas à l'empêcher de me passer le collier. Elle s'inclina vers moi pour l'attacher, en se plaquant contre moi comme si elle cherchait à m'étouffer entre ses seins. Après avoir fixé la laisse au collier, elle se releva et me regarda avec satisfaction

"Tu n'es pas le premier homme dont je me sers comme carpette, mais tu es le premier que je mets en laisse aussi rapidement !" Elle a vraiment le secret des phrases mortifiantes...

La visite de son appartement reprit ainsi de manière plus approfondie, dans ces circonstances que je n'aurais jamais pu imaginer. Je dus donc me traîner misérablement à quatre pattes derrière Elodie, obéissant à chaque traction qu'elle exerçait sur la laisse, en l'écoutant se moquer des hommes en général et de moi en particulier... Elle s'arrêta un instant et me jeta un regard ironique "Les chiens ont beaucoup de flair... Est-ce que tu es un bon chien ?" Je la regardai sans comprendre. Elle eut un sourire cruel "Flaire le sol... est ce que tu y sens l'odeur de mes pieds ?" Mais où allait-elle chercher tout ça.? Timidement, je me mis à renifler le parquet, sans beaucoup de résultats. "Ne me dis pas que tu ne sens rien ? A moins que ton visage ait absorbé toute l'odeur de mes pieds quand je les ai frottés dessus ?" Mais peut-être que tu pourrais sentir le goût de ma transpiration, si tu léchais le sol là où mes pieds se sont posés ?" Elle pointa le sol de l'index et m'ordonna "Lèche ici !" "Rien ?" Et ici ! poursuivit-elle en désignant le sol du bout du pied. Je léchais de nouveau le parquet, tentant de déceler la moindre trace salée "Et là ?" demanda-t-elle en soulevant son pied. Je dus me plaquer à terre pour venir goûter du bout de la langue la trace moite que son pied venait de laisser sur le parquet. Je sentis effectivement un goût salé très subtil, et peut-être même l'odeur de son pied, mais avant même que je puisse analyser l'origine exacte de l'effluve, elle abattit brutalement son pied nu sur ma joue, m'écrasant la tête contre le sol. Je l'entendis rire "Quel bon toutou, si docile, si confiant ! Tu sais ? Il paraît que l'homme est un loup pour l'homme. Mais correctement dressé, je crois qu'il peut vraiment devenir le meilleur ami de la femme !" Elle éclata de rire, faisant tourner son pied sur ma joue comme si elle voulait vraiment m'aplatir la tête comme une galette. Je fus momentanément sauvé de ce jeu dégradant par la sonnerie du téléphone.

Elodie me mena en laisse jusqu'au meuble du téléphone et décrocha. J'étais positionné devant elle à quatre pattes, tête basse. Elle posa un pied sur ma nuque pour parler plus à son aise. C'était Sophie. L'essentiel de la conversation m'échappa car je m'étais perdu dans la contemplation du pied nu qu'Elodie avait gardé au sol. J'étais tellement absorbé que je ne fis pas attention à l'accentuation de la pression de son autre pied sur ma nuque. C'est le coup brutal qu'elle y porta qui me tira de ma rêverie et je compris qu'elle voulait que je me couche. Dès que j'eus posé ma joue contre le sol, elle monta carrément sur ma tête et se tint debout dessus tout en continuant à parler avec son amie !

J'ignore si elle se tenait debout sur ma tête de tout son poids ou si elle était appuyée contre le meuble, toujours est-il que la douleur était terrible. Je poussais un fort gémissement, ce qui me valut immédiatement un coup de talon dans la tempe...

"C'est le chien...
Oui, tout est ok, j'ai la situation bien en main. Tu sais avec ces bestioles, il faut savoir faire preuve d'autorité et leur montrer qui commande... Oui, Eric est toujours là. Ne t'inquiète pas, il ne s'ennuie pas... Oui... A tout de suite"

Elle raccrocha et redescendit sur le sol

"Je t'interdis de faire du bruit quand je suis au téléphone, c'est compris ?" Elle fit mine de me donner un nouveau coup de pied au visage, pour me montrer son mécontentement, mais ne porta pas le coup.

"C'était Sophie. Elle est en route. Elle devrait être là dans une vingtaine de minutes..."

Elle donna une traction sur la laisse pour m'obliger à reprendre ma posture de chien, avant d'ajouter avec un sourire cruel

"... Ce qui nous laisse encore un peu de temps pour nous amuser..."



Par severa - Publié dans : jeunes maitresses
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires

Présentation

  • : severa, domination feminine
  • severa, domination feminine
  • :
  • : recits histoires de dominations feminine et d'avillisements des males. lecheurs de bottes et de culottes, buveurs de pisse, têtes à claque, branleur, ce blog est pour vous
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact
  • : 30/12/2008

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>

owk

Syndication

  • Flux RSS des articles

Profil

  • severa
  • severa, domination feminine
  • Femme
  • 21/02/1984
  • belle severe dominatrices cruelle
  • femme de caractére, dominatrice avec mon mari soumis, je domine également ma meilleur amie, qui, elle aussi domine son mari, bref, je suis une femme épanouie qui aime conté des histoires.

Derniers Commentaires

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus