Mardi 27 janvier 2 27 /01 /Jan 11:54

severine

30 novembre, 2007

ou le pouvoir des cuissardes.

 une paire de bottes, portées par une jeune beauté craquante, a suffit pour réveiller le chien qui dormait en lui!

parmi la centaine de jeunes gens auxquels il fait cours tous les vendredis, cette fille à immediatement retenu son intention. de courts cheveux auburn, des yeux d'un bleu metallique dans un visage au charme troublant, un mélange de grace et d'assurance dans la démarche, tout en elle est mis en valeur par l'elegance discretement provocante de sa tenue, chaque semaine différente, loin du style négligé de la plupart des étudiantes. cependant, le plus fascinant en elle est la touche de cuir invariablement présente_vêtements, ceinturon ou bottes_, qui lui donne une incontestable allure de dominatrice.

ce n'est pas la premiére fois qu'Antoine fantasme sur l'une de ses éléves: souvent, il se branle devant les photos d'identité des plus excitantes et lorsqu'il doit honorer le corps fade de sa triste épouse, la pensée de ces jeunes beautés est le seul moyen d'afficher un minimum de virilité. néanmoins, il a l'intuition que séverine va supplanter, dans ses rêves, toutes les autres. evidemment, il va la favoriser outrageusement….

aujourd'hui, en la voyant, ilen a le souffle coupé:la taille serrée par un large ceinturon, moulée dans un pantalon de strech vert bouteille, la jeune fille est chaussée de haute cuissardes de cuir noir. le cours devient vite un véritable supplice. le regard d'antoine est irrisistiblement attiré par les bottes de séverine, jambes haut croiséesn semble prendre un malin plaisir à exhiber sous son nez. tout en parlant, il ne peut s'empecher de s'imaginer, rampant aux pieds de cette créature de rêve, la suppliant de l'autoriser à les lui lécher. cette idée la tenaille tellement qu'il a de plus en plus de mal à se concentrer sur ce qu'il racontre.

enfin le cours se termine. comme si elle avait compris ce qui se passe dans la tête de son professeur, Séverine lui lance un petit sourire narquois avant de s'éloigner, hautaine est superbe.Antoine doit se retenir pour ne pas se précipiter à sa suite et se jeter a ses pieds.

tachant de conserver une contenance digne, il gagne son bureau. une fois seul, son trouble ne diminue pas, au contraire: l'image de cette fille fascinante l'obséde plus encore qu'en sa présence, comme le prouve son énorme érection. bien sûr, il pourrait simplement se masturber mais se ne serait pas suffisant car son excitation est trop forte pour être calmée aussi facilement. c'est d'autre chose qu'il a besoin d'urgence.

dans ce genre de circonstances, la meilleure solution est d'aller voir au plus vite laurence. antoine a eu la chance, dans cette ville de province ou il enseigne, de faire la connaissance d'une jeune femme sachant manier le fouet avec compétence est rigueur. or ce dont il a besoin en ce moment, c'est d'avoir mal en recevant l'une de ces magistrales corrections q'elle seule est capable de lui administrer.

allo maitresse? est ce que je pourrais venir vous voir? aujourd'hui je n'ai pas trop le temps…._ il me faudrait une correction sévére. j'en ai besoin tres vite…._ bon tu n'as qu'a passer et je trouverais bien un moment pour te filer une bonne dérouillée._ merci maitresse!..

rassuré, Antoine se dépêche quand même de partircar le campus universitaire se trouve à l'exterieur de la ville et, comme il n'a pas de voiture, il doit attraper le prochain bus. malheureusement, un collégue importun insiste pour lui parler et le temps de l'éconduire poliment, le bus est passé. une bonne demi heure à attendre… soudain, une voiture de sport s'arrête brusquement devant lui. la portiere s'ouvre: ( je vous dépose!., lui lance séverine avec un grand sourire.

sans même réfléchir, bredouillant un merci, antoine monte dans la voiture de la jeune fille qui démarre sur les chapeaux de roues. tassé dans son siége, il ne trouve rien à dire, se sentant à la fois trés gêné et terriblement excité d'être assis prés d'elle. aprés avoir vainement tenté de regarder que la route, ses yeux finissent par se poser sur les fascinantes cuissardes de sa conductrice. elles sont belles; n'est-ce pas, mes bottes!_ oui trés belles..répond-il la gorge serrée, tout en détournant son regard et en rougissant. jamais, il n'aurait dû…tu peux continuer à les regarder puisque tu en as tellement envie. d'ailleurs, tu n'as pas arrêté de toute la matinée! ce brusque passage au tutoiement de la part d'une gamine qui est son étudiante, il s'en aperçoit à peine tant elle le trouble. il fixe à nouveau les bottes. séverine a un petit sourire puis reprend; ca fait un moment que je me suis rendue compte que tu étais un vieux vicieux! je parie que tu es en train de bander! non? que répondre! qu'effectivement il n'en peut plus de bander depuis le premier jour! qu'elle est une jeune deesse à laquelle il rêve de se soumettre! seulement maintenant, ce n'est plus un fantasme….

brusquement, séverine se gare sur le bas-coté et coupe le contact. antoine n'a toujours pas quitté ses bottes des yeux. tu aimerais bien les lécher, pas vrai! comme un chien que tu es! regarde moi est répond! le ton est soudain devenu imperieux. docilement il léve la tête. le visage de la jeune fille est transformé:plus de sourire, mais un éclat dur dans le regard. sa beauté s'est faite sévére, encore plus fascinante. oui je voudrais bien pouvoir  lécher vos bottes… un léger sourire de mépris se dessine sur les lévres sensuelles de l'arrogante beauté, puis elle redevient sérieuse: alors demande le moi, crétin! mademoiselle… est que je pourrais lécher vos bottes? s'il vous plait, mademoiselle… Antoine se senttout à coup soulagé d'avoir osé franchir le pas, même s'il l'a fait sans réflêchir. Séverine le fixe un instant avant de lui lancer: alors qu'est-ce que tu attends! chien? glissant maladroitement de son siége, il se met à genoux tandis qu'elle lui tend sa botte droite, tout en précisant: pour l'instant, tu ne léche que les semelles. elles ne sont pas trop propres et je les veux impeccables! léche bien! que je voie ta langue de chien! et n'oublie pas de bien sucer les talons.

sans plus attendre, antoine se précipite sur la botte offerte. sa langue parcourt avec délice la surface un peu rugueuse, s'arrêtant juste le temps de déglutir pour avaler la poussiére et les gravillons qu”elle vient de retirer. le merveilleux parfum du cuir l'enivre pendant qu'il s'active avec une ardeur grandissante, se delectant de s'humilier devant cette superbe créature en lui prouvant sa complête soumission. comme elle l'a dit, il est un chien mais fier de l'être, lorsqu'il fait aller et venir le talon dans sa bouche, aussi profondemment que possible…

sufit ! à l'autre maintenant !” bien que Séverine se soit tournée légérement, c'est plus compliqué pour la botte gauche que pour la droite, et il est obligé de se glisser sous le tableau de bord. pendant ce temps, elle a posé l'autre pied au creux de ses reins sur lequels elle semble prendre plaisir à peser de tout son poids, tout en l'encourageant d'un ton moqueur: léche mon chien, léche bien!” atteignant enfin la semelle, la langue d'Antoine se met à nettoyer avec autant d'application et de dévotion que la précédente. pour le talon, impossible de le sucer réellement, et il doit se contenter de passer la langue tout autour. la verge tendue à en éclater, il espére que ses efforts lui vaudront d'être autorisé à lecher les cuissardes sur toute leur longueur. c'est bon. ça va comme ça. tu ne sais pas vraiment lécher, mais au moins, tu y mets de la bonne volonté. redresse toi ! Antoine commence à essayer de  regagner son siége quand une tape séche sur le sommet du crâne l'arrête net. je t'ai dit de te redresser, pas de te rasseoir ! tu peux me regarder mais tu reste là ou tu es, à genoux et mains sur la tête. Compris ?_ oui mademoiselle !” répondid-il  les yeux levés vers la jeune fille qui, trés à l'aise et de nouveau un sourire narquois aux lévres, allume une cigarette, avant de lui souffler une bouffée de fumée dans la figure. c'est plutot “maitresse” qu'il aurait fallu dire, pense t-il en regrettant de ne pas l'avoir fait, car c'est aux pieds d'une véritable dominatrice qu'il se trouve. finalement, il suffit de savoir te parler pour que tu obeisses en vrai chien que tu es ! avancant un pieds, elle appuie sur son entrejambe de la pointe de sa botte: ” et un chien en chaleur à ce qu'il me semble. ouvre-moi ta braguette et sort ton bazar que je voie un peu! “ fébrilement, Antoine s'exécute avant de reprendre sa position, le penis fiérement dressé. la botte caresse celui-ci avant de le plaquer brutalement contre le ventre. “je parie que si j'insiste, tu vas gicler ta cochonnerie mais pas question: ca se mérite, ces choses là… pourtant, il sent que, si elle continue, il va éjaculer et il essaie désespérément de se controler jusqu'à ce qu'enfin elle retire son pied”… et toi tu es loin de l'avoir mérité, pas vrai ?_ oui maitresse! la réponse fait rire Severine, d'un rire cruel et moqueur:” mais c'est que ça connait les usages,ça, Madame ! tiens cadeau!” Riant toujours, elle le gifle, d'un aller-retour sec qu'il encaisse avec bonheur: enfin elle l'a frappé… merci maitresse!_ pour l'instant, tu n'es qu'un chien. je vais t'emmener à la maison et on va voir ce que tu as dans le ventre. si tu te montre à la hauteur, alors peut-etre, mais seulement pet-être, je me déciderai à te dresser vraiment. il faut que tu saches que je suis exigeante et que je ne te ménagerai pas. aucune objection! oh non maitresse ! je ferai tout ce que vous voudrez !_ c'est ce qu'on va voir…. parfait, allons-y ! tu vas faire connaissance avec mes cravaches: c'est comme les bottes, j'en ai toute une collection…. en attendant baisse ton froc et reste à genoux, mains sur la tête. tu as le droit de regarder mes bottes!…

Tandis que la jeune fille démarre, Antoine se sent emporté par un bonheur soudain. les yeux rivés sur les bottes qui actionnent nerveusement les pédales, les fesses à l'air, il ne pense plus à son rendez-vous avec laurence, ni à sa femme qui l'attend ce soir. rien ne compte plus que la joie d'avoir trouvé une vrai maitresse. une heure auparavant, Séverine était une étudiante. maintenant, elle est une dominatrice de rêve, belle autant que cruelle à laquelle il est prêt à tout sacrifier, carriére, famille…

le trajet n'est pas long. apés un virage brusque, la voiture roule sur du gravier avant de s'arrêter. risquant un coup d'oeil, Antoine s'aperçois qu'il se trouve dans la cour d'un petit hotel particulier mais il rabaisse bien vite la tête en entendant une voix féminine: Bonjours ma chérie !” bonjours maman ! je rapporte une surprise…” Séverine descend, fais le tour de la voiture, ouvre la portiére et jette Antoine dehors en l'agrippant par les cheveux. pantalon sur les chevilles, le nez dans le gravier, il a tout juste le temps d'entrevoir une paire de jambes bien galbées, chaussées d'escarpins noirs. un vigoureux coup de bottes dans les fesses le propulse dans leur direction. dis bonjours en bon chien que tu es !” docilement, Antoine commence à lécher….

                                                           FIN

                                

Par severa - Publié dans : jeunes maitresses
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Commentaires

Superbe récit.....
commentaire n° :1 posté par : Greg & Clo le: 09/02/2009 à 16h38

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  • 21/02/1984
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