un cadeau pour maman
Aline est arrivée en retard mais
plus resplendissante que jamais, moulée dans une courte robe rouge, ses longues jambes fuselées gainées de noir. nerveux Jèrôme se lève pour l’accueillir, puis se rassied en face de celle à qui
il a, quelques jours auparavant, envoyé une lettre lui proposant de devenir son esclave. va t-elle se moquer de lui? le traiter de pervers ? le sourire sarcastique avec lequel la jeune fille le
dévisage, n’augure rien de bon. déjà, il regrette sa démarche, surtout en l’entendant lui lancer: amusante ta lettre… la gorge serrée, l’estomac noué, Jérôme baisse la tête. amusante mais
intéressante. alors tu voudrais que je te domine ? et tu es prêt a tout pour ça ? regarde moi! “
le fin visage d’Aline est devenu sévère et ses yeux sombres ont un éclat nouveau. qu’elle est belle!… après le oui qu’il parvient à murmurer, elle reprend: je me doutais bien que tu étais un de
ces types juste bons à ramper et obéir. je me demander seulement quand tu allais te décider.. ne t’en fais pas: les mecs dans ton genre, je sais comment les traiter! mais avant d’aller plus loin,
je veux vérifier la qualité de la marchandise. va retirer ton slip et reviens, la braguette ouverte”. heureusement, l’arrière-salle du bar, ou s’ouvrent les toilettes, est déserte. quand Jérôme
revient, le slip roulé en boule dans le creux de sa main, il se sent tout nu et bande déjà. jette ton slip sous la banquette et approche”.
Aline glisse une main dans l’ouverture et lui tâte les fesses puis les couilles, et la queue. celle-ci déjà gonflée, durcit encore sous les longs doigts aux ongles acérés. tu peux remballer tes
joujoux. maintenant écoute bien: maman vient passer quelques jours chez moi et je veux lui faire une surprise, un cadeau pour qu’elle ne s’ennuie pas. ce cadeau c’est toi. pendant tout son
séjour, tu vas donc la servir avec autant d’empressement que si c’était moi que tu servais, et lui donner du plaisir en acceptant tout ce qu’elle te fera subir, absolument tout. crois moi c’est
une vrai dominatrice, une maîtresse expérimentée qui t’en fera baver. tu as intérêt à faire de ton mieux. si jamais tu la déçois, ta punition sera simple et sans appel: tu ne me reverra jamais.
en revanche, si tu te montres à la hauteur, je saurais te récompenser… à ma manière! compris ? alors va chercher un taxi, on y va…” en se levant elle se penche à son oreille et lui jette dans un
sifflement:” esclave!”
à peine le taxi a- t-il démarré qu’Aline agrippe Jérôme par le col: écarte bien les jambes, ouvre ta braguette et sors-moi tout” la jeune fille s’est exprimée à haute voix: le chauffeur à du
entendre. les mains tremblantes, Jérôme obéit, faisant jaillir sa verge. de son sac, Aline sort un long lacet noir que, d’un tour de main habile, elle passe autour du scrotum de son esclave, le
serrant au maximum avant de le nouer en le passant entre les testicules, à les faire éclater. cependant ce n’est pas fini: Aline entoure la base du gland d’un large ruban rouge, noué
artistiquement comme un paquet cadeau. et voilà! emballé pour maman.. tu peux rentrer ton fourbi. attention au ruban!.
l’oeil narquois, elle le regarde faire puis reprend, toujours à haute voix: “les chiens comme toi ont en général une attirance pour les pieds. les miens te plaisent ? - bien sur maîtresse… vos
pieds sont de toute beauté… je te permets de les renifler.. j’ai dit: juste renifler, sans lécher. pas comme ça crétin: tu ne sentira rien si tu ne te mets pas à genoux! “
Se laissant glisser sur le plancher du taxi, l’esclave se penche sur les élégants escarpins à talon haut. une légère odeur de transpiration se mêle au parfum du cuir. tout en ouvrant toutes
grandes ses narines, il admire les chevilles fines, le galbe parfais de ses longues jambes, la rondeur fascinante des cuisses disparaissant sous la robe étroite…. placé comme il est, il ne peut
voir plus haut mais ce spectacle lui suffit déjà, au point qu’il remarque à peine qu’Aline bavarde tranquillement avec le chauffeur. sentant une main de sa maîtresse lui tapoter la tête, il
sursaute:” suffit, mon mignon, on est arrivés. paye donc le monsieur.”
rougissant, n’osant pas regarder le chauffeur en face, l’esclave lui glisse un billet. l’homme hilare, redémarre sans même rendre la monnaie.
Aline se dirige déjà vers un immeuble moderne, de sa démarche souple et impérieuse. ses longs cheveux noirs tombent sur ses reins et se balancent légèrement a leur rythme. la courbe arrogante des
fesses est soulignée par la ligne presque imperceptible du slip. les muscles déliés des cuisses fuselées jouent sous les bas, d’un noir brillant…
hypnotisé, l’esclave la suit. devant l’ascenseur, un homme attend, une connaissance de sa maîtresse car ils rient ensemble, sans faire attention à lui. la gorge sèche mais la braguette prête à
éclater, il entre dans la cabine à leur suite.
ce n’est que sur le palier qu’Aline se retourne, hautaine, d’une beauté insoutenable: tu as bien compris ce que j’attends de toi, esclave? oui maîtresse” d’un geste sur, elle lui dégrafe le
pantalon qui tombe, puis arrange les ailes du noeud de ruban, au bout de la verge tendue, avant de déverrouiller la porte et d’entrer en tirant l’esclave par la cravate. les chevilles empêtrées,
il a du mal à la suivre. à la porte du living, Aline l’abandonne pour aller embrasser une femme assise sur le canapé, avec qui elle se met à papoter tranquillement. ce ne peut être que sa mère.
celle ci, en pantalon vert et chemisier blanc, est une dame un peu forte, aux cheveux gris tirés en chignon serré. presque aussi grande que sa fille, elle a le même style de beauté arrogante,
malgré les marques de l’age est un certain embonpoint. le cul à l’air, la queue enrubannée, l’esclave se sent grotesque.
ce n’est qu’au bout d’un long moment que la femme s’enquiert de sa présence, d’un ton détaché: et ça qu’est ce que c’est? oh ça ? juste un petit cadeau… histoire que tu prennes un peu de bon
temps pendant que tu es ici, maman chérie.- comme c’est gentil de ta part! de l’index, la dame fait signe à l’esclave d’approcher et commence par lui tâter les cuisses et les fesses, avant de
s’attarder sur sa verge dont elle éprouve la rigidité en y enfonçant les ongles, tout en lui soupesant les testicules: de la chair fraîche… ça me changera de ton vieux débris de père! et ça
s’appelle comment? je crois que ça sait même parler! - esclave Jérôme, à votre service maîtresse”. la mère se mit à rire: on dirait qu’il connaît aussi les bonnes manières! pas tout à fait maman:
il ne t’a pas encore saluée.” l’esclave tombe aussitôt à genoux et pose les lèvres sur les chaussures basses de la dame, qui le regarde faire en souriant. Aline précise: je ne m’en suis encore
jamais servie. j’espère qu’il te conviendra…- certainement ma chérie: il est mignon tout plein, bien monté et il a l’air docile. que demander de plus ? je sens que je vais bien m’amuser..
peut-être même que je vais être un peu méchante! ne te gène surtout pas: il est là pour ça! tu me connais: mon plaisir avant tout! jeune est plein de santé comme il est, il doit pouvoir supporter
n’importe quoi, et il le supportera! et toi ma chérie ? je vais te laisser avec ton joujou. je passe la soirée chez richard: il a une nouvelle esclave, une jolie salope que nous allons traiter
comme elle le mérite! amuse toi bien, ma petite chatte! Aline se lève, embrasse tendrement sa mère, puis lance un léger coup de pied à l’esclave, toujours prosterné: et toi tache de ne pas
décevoir maman. N’oublie pas ce que je t’ai dit!..
la porte une fois refermée, la
dame caresse la joue de l’esclave, en souriant: on n’a pas l’intention de décevoir maman, n’est ce pas ? - oh, non, maîtresse. je ferais tout ce que vous voudrez ! commence par te mettre à poil,
mon mignon, tu as dix secondes!
n’osant pas se relever puisqu’il n’en a pas reçu l’autorisation, il se défait fébrilement de ses vêtement en se tortillant sur la moquette. une fois nu il se redresse face à sa maîtresse. l’oeil
gourmand, celle-ci dénoue lentement le ruban qui entoure la verge…
fin
j'ai
besoin d'un larbin pour s'occuper de moi, la récompense sera de me lecher les pieds ou les bottes, je lui donnerai en patures ma petite culotte, bien que j'aurais portée, ce n'est pa moi sur
l'image, mais les males parait-il me voient encore plus belle, quand je les autorise a me regarder, qu'en pense tu larbin.
ton cul tremble comme une feuille, je suppose que ça brule, et tout ça pour
m'avoir contrarier, tu sais que je n'aime pas que tu te prenne pour un homme même en public, c'est moi qui parle, j'espére qu'aprés cette seance tu réflechiras à deux fois avant d'ouvrir ta
grande gueule esclave.
tu vois, cher mari, j'ai fait de toi ma bonne, ma maitresse, car
c'est moi désormais qui décide de te baiser, tu n'as plus de fric, puisque c'est moi ta maitresse qui gére tes comptes, je t'interdis de fumer, a part celle qui sort de ma bouche, je te
crache dessus et tu me dis merçi, je t'adore, je t'offrirais ma culotte quand je te remettrais à ta niche, tu l'aimes ta niche, mes vêtements sales te servent d'oreiller, tu as l'impression de
dormir sur moi, mais rassure toi esclave, c'est dans tes rêves, toi, je te réserve le droit de me torché le cul avec ta langue, et le plus marrant, c'est que tu aimes celà, allez va boire
ton verre que je t'ai emplie avec amour et va coucher, demain tu te léve de bonne heure pour allez bosser, il faut bien m'entretenir, allez va esclave.
embrasse moi cherie, regarde comme je l'ai bien dresser, il n'ose même
plus bander sans ordres, par contre, j'ai la chatte qui coule comme une fontaine, alongeons nous sur lui et faisons l'amour ma cherie, j'ai un god dans la table de nuit, hum, qu'elle délice
d'avoir un mari docile, baise moi ma cherie.
regardez mesdemoiselles, ce type etait une terreur pour sa
femme, voilà une semaine que je le dresse et regardez, doux comme un agneau, sa gueule est à sa place, quand je serais satisfaite de lui, je lui permetrais de la retourner pour pouvoir sentir le
sexe qui le domine, là, je le rendrais à sa femme, docile à souhait.
prosterne toi devant ta maitresse, esclave, regarde comme je suis
belle, je t'ordonne de bosser pour moi, je te laisserai juste de quoi subsister, en prime, tu feras mon ménage, j'adore qu'un homme esclave lave mes culottes, doc ma lessive, et mon repassage, et
tu feras tous celà à poil, pendant que je me détendrai dans le salon, c'est usant des males dans ton genre, baise mes sandale et va bosser faineant.
voilà comment je laves mes culottes, moi j'adore, lui je m'en fou, mais
à voir ses yeux, pour lui c'est devenu une drogue, il faut le voir me tourner autour à quatre pattes pour que je la lui offre, mais il a droit à cette récompense quand il a terminer le ménage,
qu'il adore faire d'ailleurs, surtout laver le linge intime de sa maitresse, regardez le un vrai petit ange. aprésil me bouffera le cul, j'adore regarder la tele sa gueule entre mes cuisses, moi
grignotant des fruits secs, lui ma mouille, on es un couple complet, je l'adore, il me venere.
pendant qu'il s'occupe de mes pieds, j'adore lui envoyé la fumée de ma cigarette,
lui à qui j'ai interdit ces petites douceurs, l'alcoll, le tabac, le petit verre avec ses copains, par contre, moi je fais tous ce que ce conard d'esclave ne voulait pas que je fasse quand il
etait libre, je m'offre des parures en vinyle, des vetements en cuir, des cuissardes, lui doit bosser comme un fou, et en plus, je n'en fou plus une, vivre la femme dominatrice, allez chien,
continu ton travail.
mon mari aime la campagne, alors je lui fait un petit plaisir, je vais le promener le
week-end, je l'apprends à pisser le long d'un arbre, sans se pisser dessus, c'est tres dur pour lui, essayez, vous les males de pisser en bandant, he oui, quand je promene mon mari, il doit
toujours faire honneur à sa femme, lui montrer qu'il l'aime, je fais tous pour qu'il reste en erection, mais il n'a pas le droit de juter sans mon ordre, cela a arriver une fois, je l'ai attaché
a un arbre et je l'ai fouetté aux orties, croyez moi, il a compris la leçon.
rien de tel que de se faire lecher le cul apres une seance de dressage, il me creve ces cons,
il ne savent pas la douleur que j'ai a les fouetter, les cravachés jusqu'au sang, ca m'use moi, eux n'ont qu'a se laissai faire, je fais tous le boulot, alors un peu de tendresse ne fais
pas de mal, pensez y les chiens, vos maitresses meritent qu'on les cajolent apres s'etre ereinté sur vos coennes. lui il est là pour un bon moment, et si j'ai envie de pisser, il n'aura qu'a
ouvrir la gueule en grand, une fois je suis rester quatre heures à méditer dans cette position, j'ai diner fumer et lu, l'esclave n'a jamais bougé, il n'aurait pas osé, je l'aurais attaché à la
croix et fouétté jusqu'au sang, mais mes chiens sont bien dressés, et il me vénére comme il se doit...
j'aime m'asseoir sur sa bouche de cette façon j'admire le travail qu'il à fait,
même mes semelles sont impécable, croyez moi mesdames mesdemoiselles, bien dressés les hommes sont interressants, et puis nous ça nous repose, ps n'ayais crainte, il arrive à respirer,
difficilement mais il y arrive, ce serais trop long d'en dresser un autre, bon dressage.
le mariage de kate et william, quel bonne
nouvelle,une nouvelle princesse j'espére qu'elle saura le mettre à sa botte, regardez celui là, un puissant parmi les puissant, et là, il me supplie depuis ce matin de le laisser
m'adorer, pour l'instant, je lui es permis d'honorer ma botte, là je vais l'emmener dans ma salle de bain, laver mon linge intime avec sa langue, j'aime enfilé une culotte entierement
lavée de salive, rien que de pensée qu'un esclave à passer des heures à lecher le fond de ma culotte, me procure des picotement dans ma chatte, allez le chien, suis ta maitresse.
tu crois peut-être esclave, que tu vas passer ta journée avec tes copains,
non mais je rêve, qui commande ici, c'est moi, et depuis que tu m'as fait chier pour je te prenne en main, c'est fait, tu n'as plus qu'a obeir à ta maitresse, et si elle t'ordonne de faire
reluire ses talons, tu le fais sans discuter et surtout sans réfléchir, cela ne doit pas étre dur pour toi, vu la cervelle que tu as, je t'interdis de sortir, par contre moi, quand tu auras fait
briller mes bottines, j'irais au super marché avec ta soeur anita, pendant ce temps tu feras la lessive, puis la vaisselle et les sols, pour les poussiéres, tu auras peut-etre le temps ce soir
quand je regarderais un film, tu dois etre content que je t'ai choisis comme esclave, ha au fait, j'ai une liaison avec ta soeur, et elle est au courant de notre façon de vivre, elle adore, et
elle ne serait pas contre une petite seance à trois, bien sur j'ai accepter à condition que tu ne jouisses pas, ce serai inconvenable devant ta propre soeur, par contre à elle, je lui donne tous
les droits, elle m'a avouée qu'elle aimerait t'enculer, tu sais bien que j'ai accepter, pendant qu'elle te sodomnisera, tu feras

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